mercredi 4 juillet 2007

Collette Tshomba vient d´être corrigée à Paris


Le Courage n´est pas à confondre avec la Témérité, Collette Tshomba vient d´en avoir pour son compte à Paris où, elle s´est permise de lancer un défi à la Communauté congolaise de France.
Nos sources de Paris viennent, il y a à peine quelques instants, de nous annoncer par une dépêche, le passage à tabac de Mme Collette Tshomba, soi-disant Vice-ministre de la Diaspora congolaise du semblant de Gouvernement fantoche de Kinshasa dirigé par M. Antoine Gizenga.


En effet, celle-ci est à Paris depuis quelques temps, comme émissaire de son président rwandais, - désormais qualifié par la Mission des Nations Unies au Congo (MONUC) de <<>> plutôt que de Joseph Kabila, de par son pseudonyme politique au Congo - dans le but d´organiser d´humiliantes féstivités d´indépendance dans la capitale francaise. Et ceci, malgré l´interdiction de séjour imposée aux dirigeants de Kinshasa qui participent à la destruction et à la vente du pays aux étrangers. Interdiction décretée par la Diaspora congolaise qui ne veut rien entendre des ces indésirables politiciens (politiciennnes) d´opérette, corrompus et traîtres, n´ayant aucun sens de patriotisme ni d´honneur.
 
Téméraire et hautaine de nature semble-t-il, et en plus, trompée par quelques méndiants de Paris, Collette Tshomba a voulu jouer à la Brave et à la Dame de Fer du régime fantoche de Kinshasa, en bravant cette interdiction, défiant ainsi la Diaspora congolaise qui s´est vue bléssée dans son Amour Propre. Au fait, Elle a organisé à Paris avec l´argent volé au contribuable congolais, qui pourtant croupi dans la misère la plus noire, une sorte de kermesse, conférence avec un match de football prévu pour la clôture de l´événèment. Mais comme pouvait s´y attendre pour tout observateur congolais averti, cela a tourné au vinaigre pour celle-ci.


En fait, autour de 17 heures et démie, alors que cette dernière était invitée à prendre la parole à la tribune, elle n´a eu à peine que cinq petites minutes à s´exprimer, avant qu´une pluie de chaises ne s´abatte sur elles et sur ceux qui assistaient dans sa petite pièce de théâtre. C´était la débandade totale dans la salle qui servait de cadre à la rencontre, chacun cherchait une issue de secours pour s´échapper du lieu, transformé pour eux et contre toute attende, à un piège. La police francaise CRS, alertée fit sa déscente sur le lieu quelques temps plus tard, alors que le dégât était déjà fait. La voiture de la fameuse madame le ministre a été complètement défoncée, avant d´être incendiée par les Congolais en colère.


D´après les Congolais trouvés sur place et bien décidés en découdre avec cette Traîtresse, rien que ce traitement n´était capable d´expier ses forfaits. C´est-à-dire le prix à payer pour ses multiples provocations de ces derniers temps à l´encontre de la Diaspora. Elle était déjà là le mois dernier à Bruxelles avant les élections parlementaires belges. Et en dépit du rappel qui lui avait été fait par les Patriotes de la diaspora, de ne plus oser se présenter à eux en cette qualité là, elle a plutôt choisi de faire la sourde d´oreilles, et de continuer à défier ceux qui aiment et sont prêts à tout pour la défense de notre cher Congo. Voilà que: <<>> comme le disait si éloquemment, le très regretté et excellent journaliste de la Radio-télevision zaïroise (OZRT) de la belle époque, feu Ekamba Eoleka, dit Likambo na Moto Té.
Histoire à suivre!


Le Patriote, Pépin Lulendo

Colete Tschomba, Ministre des Congolais de l'étranger, humiliée à Paris


Après ceux de Londres et de Bruxelles, les patriotes Congolais de Paris disent NON à Colette Tchomba.

La fête du 30 juin à Argenteuil a tourné au vinaigre. En effet, madame TCHOMBA attendue pour 14h s'est pointée à 17 heures. Première erreur.

Une telle attitude de la part d'un ministre, sera considérée comme inadmissible et insultante par les quelques invités Congolais ayants répondu présents pour entendre la représentante du gouvernement de Gisenga. « Je comprend pourquoi le pays est dans une impasse », s’entichera d'ailleurs l’un d’entre eux.

D’après nos renseignements, les organisateurs voulaient tout annulé en derniére minute suite à des appels anonymes, des invectives et autres menaces des Congolais de la diaspora. En effet, les services de sécurité de l’Ambassade de la RDC à Paris, nous informent qu’ils avaient prévenu madame la ministre de la présence, dans la salle, et contre toute attente, des membres de l’ « APARECO », des « TOPONI CONGO » des « JEUNESSE CO-DE » des « UN VOTE POUR TOUS » des « COLLECTIFS SOS RDC » des « MOUVEMENT NATIONAL POUR LA REPUBLIQUE (MNR) » et autres…, et qu’il est impossible de les déloger. Mieux vaudrait tout annuler séance tenante, car nulle ne connaît leurs intentions.

Laissez les, ce ne sont que des Congolais après tout et je n’ai pas peur d’eux ! Aurait t’elle répondu, balayant de la main les mises en garde des agents de l’ambassade !

Lorsqu'elle fait enfin son apparition, escortée par une forte garde rapprochée de Judokas de Paris, dans un silence de morts et une indifférence générale, d'aucuns remarqueront la peur à peine contrôlée qu'affiche madame la ministre de la diaspora, dont les yeux scrutent chaque coin de la salle et chaque mouvement intempestif.

C’est clair, elle est aussi à l’aise qu’un mouton qu’on emmène à l’abattoir.

Sans doute, pense t'elle aux mésaventures de Vital Kamhere à Paris ou encore de She Okitundu à Londres, voir même de Kengo Wa Dondo ou Christophe Muzungu à Bruxelles. Mais bon, on ne sait jamais peut être que comme elle, s'est une femme…

Grave erreur d'analyse, ses craintes vont être justifiées !

A peine vient t'elle de prendre la parole, qu’elle fait une grosse bourde (comme son collègue Vital Kamhere) qui va tout déclencher et dont elle se mordra longtemps les doigts - "Nous savons que les Congolais de la diaspora sont mécontents, car ils ont été un peu oublié" – dira t’elle bêtement dans son introduction - Les patriotes Congolais de la diaspora réagissent au quart de tour, la houspillent et se lèvent comme un seul homme.

Les questions fusent de partout et de nulle part à la fois:

Et nos plus de 5 000 000 de morts, vous les avez aussi un peu oublié? - Votre patron « Hyppolite Kanambe » a massacré des Congolais en plein Kinshasa ; çà aussi vous l'avez un peu oublié? - Pourquoi mentez vous madame ? - Non, vous n'avez pas un peu oublié, vous nous avez exclu volontairement pour que vos plans puissent se réaliser, vous nous prenez pour des idiots? – Nos femmes et nos enfants violées vous les avez aussi un peu oublié ? Mais nous, nous n’oublierons jamais, dites le à Kanambe et à Kizengi (c/o Gisenga)! Etc. etc.

« Attendez- attendez, vous aurez le temps de parler chacun à votre tour ! »

Dira en vain madame la ministre pour tenter de calmer les patriotes Congolais en colère. Mais rien n’y fait, c'est la panique dans la salle, les organisateurs se tiennent la tête à deux mains! Aïe ésili Makambo ebébi awa. To échouer ! Criera le Kabiliste "Vieux Lokondo" à ses compères, avouant ainsi malgré lui un plan caché sans doute ???

Les maîtres judokas Congolais payés 200 euros chacun pour assurer le service d'ordre sont très rapidement débordés et ne savent de quelle coté montrer leurs muscles.

Les bombes lacrymogènes et les boules puantes finissent très rapidement par avoir raison du courage et des judokas, et des citoyens lambda et de nos jeunes frères maliens, introduit dans la salle au trois-quarts vide, pour la circonstance.

Sauve qui peut !

Tout le monde et particulièrement nos frères maliens détalent comme des lapins: « Sé vous l'avais dit, sé vous l’avais dit. Fallait pas vini ici, les saïrois sont très fasé. Moi zé sait. Nous on est vini ici pour souer au football par pour mourir à causs les prrroblémes des politiques des saïrois ». S’époumone l’un d’entre eux prenant ses jambes à son cou, tout en s’adressant à ses congénères. Des chaises volent. On se croirait dans « Tintin au Congo ».

Madame la ministre toute tremblante et les yeux en feu, à cause de l’action des bombes lacrymogènes est finalement évacuée dans une arrière salle, où son visage sera passé sous l’eau, pour calmer les fortes démangeaisons et sensations de brûlures, elle a du mal à respirer.

Des mères kabilistes auraient pu laisser leurs bébés et leurs jeunes enfants à la maison. Naïvement, elles avaient cru à une fête comme les autres, celle de la "dépendance au Rwanda", avec des milliers d'Euros à justifier pour la bière et autres mets au menu.

Ce dimanche 1er juillet 2007, la population d'Argenteuil a assisté à un autre défilé du 30 juin, celui des policiers appelés au secours. Mais, au fait, pourquoi avoir choisi la ville d’Argenteuil, pour s’adresser aux Congolais de Paris, alors qu’il existe plein de salle dans la capitale qui de surcroît est bien plus facile d’accès ???

A Paris, scandaleusement appelé "zone interdite", comme à Londres et Bruxelles, on se méfie de ce genre de fêtes. Tout simplement.

Finalement Tchomba a disparu, évacuée et dégoûtée.

Des gaz lacrymogène, des boules puantes, des chaises et des tables devenus objets volants non identifiés, voilà ce que l’on a pu trouver dans le menu des réjouissances.

Des blessés ? Certainement, mais heureusement pas de mort à déplorer.

Voilà comment Madame la ministre de la diaspora qui avait « un peu oublié » que plus de cinq millions de morts Congolais, justement, ça ne s'oubli pas, a été saluée par les "Bana Paris"qui le lui ont bien rappelé.

De grâce, ne lui parlez plus d'indépendance tcha tcha !

Ata ndélé libanga ekopanza ndéké