GRANDS-LACS CONFIDENTIEL Fondé le 13 janvier, 1999 Année 2007, Numéro 11Edition du 28 mai 2007
I. LES GRANDS TITRES
A. Communiqué de Presse
Appel pour une mobilisation nationale contre la concession du Congo oriental au Rwanda
B. Briefing sur la sécurité à l’Est de la République démocratique du Congo
C. Les Nouvelles :
1. Le gouvernement Kabila livre l’Est du Congo aux rwandais
2. Des liens étroits entre Kagame et Sarkozy
3. Une visite dans les murs de l’opposition
4. Nos archives revisitées - La judaïsation des tutsi : Identité ou stratégie de conquête.
II. LES DETAILS
A.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Pour diffusion large et immédiate
APPEL POUR UNE MOBILISATION NATIONALE CONTRE LA CONCESSION DU CONGO ORIENTAL AU RWANDA
Kinshasa, RDC, le 27 mai 2007 (GLAC) – Six des ministres les plus influents du gouvernement Kabila dont les ministres de la Défense, des Affaires Étrangères et de l’Information, se sont réunis au Centre Nganda à Kinshasa, Commune de Kintambo, pour appeler les congolais à faire une table ronde avec des milliers d’infiltrés qui sont éparpillés partout dans les montagnes du Congo oriental, prêts à commencer la guerre à n’importe quel moment.
Par cet appel, le gouvernement de Joseph Kabila a fait connaître de manière flagrante ses penchants pour les mercenaires tutsi du Rwanda du Burundi et de l’Ouganda qui, depuis plus de deux ans s’infiltrent continuellement au Congo en vue de finaliser le plan d’occupation de l’Est du pays. Cette déclaration est un affront et une insulte au peuple congolais.
Lorsque Jean Pierre Bemba et ses milices voulaient perturber la paix à Kinshasa, les 22 et 23 mars derniers, le gouvernement a déployé toute sa force pour les écraser. Par contre, le gouvernement n’affiche pas la même attitude forte maintenant qu’il s’agit des mercenaires tutsi qui veulent occuper l’Est du Congo. Il réagit de manière insouciante aux misères infligées par Laurent Nkundabatware et tous les mercenaires basés à Minembwe et ailleurs, en faisant appel à la population du Congo oriental pour aller faire une table ronde avec ces mercenaires qui ont massacré des milliers de natifs congolais avec l’appui d’une Communauté internationale en perte de moralité et de justice.
L’Organisation des Nations Unies ainsi que la Cour Pénale Internationale connaissent, avec plusieurs rapports à l’appui, les abus les plus flagrants de Laurent Nkundabatware et toute sa cohorte en RDC. Voila les gens avec lesquels les vendus du gouvernement congolais veulent organiser des négociations. Au même moment ou ils appellent à la négociation, des milliers de troupes sont stationnées à Cyangugu au Rwanda, et à Cibitoke au Burundi, en attente d’un signal pour traverser au Congo.
Le gouvernement Kabila qui avait si bien frappé Bemba ferme les yeux devant ce plan macabre visant à morceler le pays de Patrice Lumumba.
Voilà pourquoi Grands-Lacs Confidentiel lance un appel vibrant à tous ses lecteurs à travers le Congo et dans le reste du monde, les conjurant d’organiser des manifestations mardi et mercredi les 29 et 30 mai, pour protester avec la plus grande énergie contre ce plan visant à vendre et morceler le Congo, et à le laisser à la merci des multinationales minières.
Comme Grands-Lacs Confidentiel n’a cessé de la démontrer pendant toute son existence, ce plan est financé entre autres par les pays suivants : Israel, les Etats-Unis, le Canada, la Grande Bretagne et la Belgique.
Grands-Lacs Confidentiel fait appel à la Société Civile congolaise, aux étudiants des écoles secondaires et des universités, ainsi qu’à toutes les couches de la société, de se lever comme un seul peuple pour signifier au gouvernement Kabila que le Congo n’est pas à vendre et qu’en aucun cas les congolais ne sont prêts à négocier avec Nkundabatware malgré toutes les pressions qu’imposent les forces occultes de la mondialisation, refusant au peuple congolais ses droits les plus élémentaires.
Eant donné que le gouvernement actuel a été conduit au pouvoir par un électorat majoritaire de l’Est du Congo et qu’aujourd’hui il vient de lui signifier son ingratitude, Grands-Lacs Confidentiel appelle les ressortissants du Congo oriental à s’organiser militairement pour défendre leurs droits et leur bien le plus légitime : la terre de leurs ancêtres.
L’Est du Congo doit avoir une milice d’autodéfense populaire parallèlement à l’armée nationale congolaise, comme solution pour bloquer les ambitions machiavéliques du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi.
L’urgence s’impose qu peuple congolais de s’organiser aujourd’hui car demain il sera trop tard.
= 30 =
Esdras MASAN
Rédacteur en Chef
Grands-Lacs Confidentiel
E-mail: glac_editor@yahoo.com
B.
BRIEFING SUR LA SECURITE A L’EST DE LA REPUBLIQUE
DEMOCRATIQUE DU CONGO:
Un bulletin spécial publié par Grands-Lacs Confidentiel
L’étau se resserre sur les provinces du Congo oriental alors que la population observe impuissante l’afflux des mercenaires, armes et munitions ainsi que la multiplicité des caches d’armes qui poussent comme des champignons partout à travers cette région et cela avec un seul but : relancer de façon imminente la guerre en République démocratique du Congo.
En ce moment, le gouvernement du président Joseph Kabila fait d’un ramassis de politiciens, criminels, traîtres et agents doubles ne cesse d’intriguer plus d’un observateur sur son insouciance au malheur qui s’abat sur les provinces orientales. Celles-ci , pendant toute la guerre des dix dernières années, ont payé pour la plus grande partie, le prix d’une « libération » qui ne cesse de se retourner contre les libérés.
Grands-Lacs Confidentiel présente une série des faits qui proviennent des sources fiables sur le pire qui attend l’est du Congo :
1. Traversée à Bukavu de 15 mercenaires rwandais munis de six équipements de communication de marque Motorola. Avant d’entrer au Congo par le village de Mumoshe, ils étaient vêtus des tenues militaires de l’armée du gouvernement congolais (FARDC).
2. Mille autres mercenaires sont basés à Cyangungu et attendent les informations qui leurs seront fournis par les éclaireurs pour pouvoir traverser vers le Congo par le même village de Mumoshe pour la destination d’une base d’un groupe basé à Kaziba.
3. Dans toute la circonscription de Goma-Bukavu-Kaziba, des caches d’armes abondent, regorgeant des kalachnikovs, armes automatiques et autres munitions à l’attente du signal pour embraser l’Est du Congo.
4. Les troupes onusiennes basées à Kiwala (près de Bukavu) font partie des agents placés dans cette contrée pour faciliter les préparatifs de la guerre. En effet, DE SOURCES TRES FIABLES, les soldats sud-africains qui sont attachés à ce poste facilitent la traversé des mercenaires en leur prêtant casques et uniformes de l’Organisation des Nations Unies.
5. Le lieutenant Général Kisempia, chef d’Etat-Major de l’armée congolais, collabore avec certains membres de la direction de la Monuc pour faciliter l’entrée d’armes et munitions vers les caches d’armes désignées à différents endroits de la région.
6. Le Nord-Kivu est entièrement encerclé par des bases placées dans les endroits stratégiques pour le grand jour du lancement de nouvelle la guerre. Deux axes sont ainsi déjà établis par les experts de cette nouvelle guerre contre le Congo. Le premier axe est essentiellement fait des mercenaires basés à Matebe. Le deuxième axe comprend les bases des mercenaires qui sont situés aux endroits suivants : Jomba, Runyuni et Tchongerero.
7. Dans le « Grand Nord » (circonscription de Bunia), Kakado regroupe les Mai-Mai pour les rallier à son front pour le compte du gouvernement du Rwanda qui paye toutes les subventions du projet.
8. Simultanément, à Bwegera (sur la route Bukavu-Uvira, en Zone d’Uvira), une partie des mercenaires qui étaient basés à Cibitoke au Burundi a traversé au Congo par le village de Bwegera à environ 7 km au sud de Luvungi. L’autre groupe de ces mercenaires attend le moment opportun pour traverser à son tour.
Conscients du danger qui va bientôt s’abattre sur leur région natale, 45 des 75 députés et parlementaires originaires des provinces du Congo oriental basés à Kinshasa se sont retirés du parlement national en signe de protestation contre l’inaction, l’indifférence et même le l’insouciance du gouvernement Kabila à l’Harmageddon que préparent le Rwanda et l’Ouganda contre l’Est du Congo. De sources fiables, Grands-Lacs Confidentiel a appris que le gouvernement Kabila fait des pressions sur ces parlementaires pour les faire changer d’avis. Ce qui est intrigant, c’est que certains de ces parlementaires reçoivent mêmes des menaces pour avoir pris la décision défendre l’unité nationale et de défendre le Congo oriental contre une guerre qui vise à le démembrer.
Les rumeurs courent dans la capitale nationale que Joseph Kabila serait de connivence avec les mercenaires pour lancer une guerre imminente visant le démembrement de la RDC pour passer le contrôle de ces immenses réserves minières aux mains des multinationales.
Si Joseph Kabila peut clamer son innocence, les faits ne vont pas dans ce sens. Alors que Joseph Kabila a répondu sans détour en écrasant durement les troupes de Jean-Pierre Bemba qui tentaient de perturber la paix dans la capitale Kinshasa, le même homme affiche une attitude flagrante d’insouciance aux maux qui rongent l’Est du Congo.
Alors que les signes sur l’imminence d’une nouvelle guerre à l’Est du Congo parlent d’eux-mêmes, Kinshasa avec ses autorités militaires s’agitent pour relancer des coopérations économiques (Communauté Economique des Pays des Grands Lacs, C.E.P.G.L.) avec les mêmes ennemis qui ont génocide plus de 7 millions de Congolais sous le regard insouciant d’une communauté internationale malade de l’immoralité. Ces pays envahisseurs coupables de crimes contre l’humanité doivent plus que du pardon au peuple congolais pour les maux indescriptibles qu’ils lui ont infligés.
Très bientot la population des provinces du Congo oriental aura à faire un choix entre deux options : se sacrifier sans aucune aide du gouvernement pour sauver ses terres ou croiser les bras et concéder le territoire du Congo au Rwanda.
Recommandations :
1. A la population, la société civile et aux armés de FARDC fidèles au Congo : S’assurer de boucler les frontières pour bloquer des milliers des jeunes Rwandais qui tenteront de traverser au cours des prochains jours. En effet, Grands-Lacs Confidentiel insiste sur le fait que, selon ses sources très fiables, des jeunes militaires rwandais vont traverser les frontières congolaises en tenue civile pour rejoindre d’autres éléments de leurs troupes afin de former le front de Kaziba. On ne doit pas permettre aux jeunes rwandais qui le tenteraient, de traverser les frontières (par le lac Kivu ou la rivière Ruzizi) vers le Congo.
2. Surveiller de très près les déplacements des Casques bleus d’origine sud-africaine.
3. Étant donnée la complicité de l’ONU et du gouvernement congolais de concéder l’Est du Congo au Rwanda, le seul choix qui reste à la population congolaise est d’organiser une milice parallèle qui seule peut défendre dignement les provinces orientales, visées par les multinationales occidentales qui financent la nouvelle guerre. N’attendez plus car demain il sera trop tard pour sauver le Congo.
Le 17 décembre 2005, à la « Place de l’Indépendance » à Bukavu, le Président Kabila alors en tournée électorale avait solennellement promis à la population du Kivu de ramener la paix dans cette région meurtrie. Il promettait alors de venir installer son Quartier Général dans cette ville, pour mettre fin à l’insécurité qui règne au Kivu. Une année et 5 mois plus tard, l’insécurité s’intensifie et Laurent Nkundabatware, un criminel de renommée internationale règne sur cette partie du pays, devenue son fief. Non loin de là se trouvent 3500 militaires onusiens qui font affaire avec les ennemis du Congo pour leur faciliter l’entrée.
Joseph Kabila avait compris la faiblesse de cette partie du pays pourtant irréductiblement nationaliste qui paradoxalement n’a jamais réussi à faire émerger un leader natif de la région, capable de galvaniser les fortes énergies nationalistes qui y règnent. Il fallait simplement leur promettre une paix qui ne viendra pas; car pour bien faire marcher un affamé, il suffit de le convaincre qu’à quelques kilomètres devant lui, il y a des paniers des nourriture en abondance.
C. LES NOUVELLES
LE GOUVERNEMENT KABILA LIVRE L’EST DU CONGO AUX RWANDAIS
Kinshasa, RDC, le 26 mai 2007 (GLAC) – Le gouvernement du Président Joseph Kabila, par l’intermédiaire de six de ses ministres les plus influents, a fait savoir à tous les congolais réunis en après-midi au Centre Nganda, en commune de Kintambo, qu’il est déterminé à créer une table ronde regroupant des congolais et les mercenaires tutsi qui traversent continuellement les frontières congolaises en obéissant à un plan bien précis : relancer la guerre d’occupation du Congo.
Cette réunion avait pour but d’émettre le point de vue du gouvernement par rapport à la situation explosive qui prévaut à l’Est. Etaient présents, entre autres, pour représenter le gouvernement, les ministres de la Défense, des Affaires Étrangères et de l’information.
Les représentants des mercenaires rwandais étaient venus en grande pompe. Ils étaient présents et même accompagnés par des étrangers, apparemment bien déterminés à prendre Minembwe avec l’appui du gouvernement.
Le gouvernement a alors demandé que tous les représentants des populations autochtones de l’Est du Congo fassent une table ronde avec les mercenaires tutsi dont, en tête, Laurent Nkundabatware. Ils ont demandé que chaque communauté soumette un cahier des charges sur la base duquel le gouvernement évaluerait la tenue de ladite table ronde.
Ce message a provoqué un choc par le fait que le gouvernement veut convier les mercenaires étrangers à une même table avec les autochtones, légitimes citoyens du pays.
Une prière empoisonnée
Sur demande de représentants occidentaux des églises, le président de l’Eglise du Christ au Congo, Monseigneur Pierre Marini Bodho, a organisé une prière pour la nation congolaise qui a eu lieu le dimanche 27 mai 2007 à 18 heures. Selon nos sources fiables à Kinshasa, cette idée de prière provient des lobbies qui travaillent étroitement en faveur de la conquête du Congo par les tutsi. Cette prière rappelle celle que le Président Juvénal Habyarimana avait organisée au Rwanda alors que le Front Patriotique Rwandais de Paul Kagame occupait la moitié du pays. La suite des événements au Rwanda est bien connue.
La réaction des députés de l’Est
Tous les députés nationaux originaires de l’Est, sauf un député de Bunyakiri, s’étaient absentés de la réunion au Centre Nganda, sachant à l’avance l’annonce qui allait être faite. Après avoir pris connaissance de l’annonce gouvernementale, les députés de l’Est ont dénoncé énergiquement « cette table ronde qui n’est en fait qu’une poudre aux yeux que le gouvernement veut utiliser pour passer à coté et éviter de mettre sur la table les vrais problèmes à l’Est du Congo ». Ils dénoncent ce plan que le gouvernement veut utiliser pour donner la terre du Congo oriental aux rwandais. Ils ont fait savoir que des mots tels que « table ronde, mixage, baraza, intercommunautaire » sont des termes que le gouvernement fait siens avec le but d’imposer les rwandais à l’Est du Congo.
Les députés de l’Est se sont entendus pour mobiliser leurs circonscriptions électorales respectives en fait de manifester partout à travers l’Est du Congo contre cette partition de la nation. Selon des sources fiables au bureau de l’ancien président de la société civile à Bukavu, Emmanuel Rugarabura, la population de l’Est est à 100% en désaccord avec le gouvernement Kabila sur cette question de table ronde.
Les députés de l‘Est ont fait une déclaration à la nation dans laquelle ils annoncent leur retrait du parlement en signe de protestation contre le plan de vendre l’Est du Congo. Ils ont fait savoir de manière claire qu’ils ne reviendront pas au parlement tant que cette proposition de négociations avec les mercenaires rwandais et leur chef, le criminel Nkundabatware, n’est pas rejetée.
Cette décision des députés est venue mettre de l’huile sur le feu. Quelques semaines auparavant les parlementaires de l’Est s’étaient retirés du parlement en signe de protestation contre la passivité et l’insouciance du gouvernement Kabila à mettre fin aux infiltrations de mercenaires et aux menaces de guerre de leurs chefs. Le Président Joseph Kabila avait alors convoqué les députés de l’Est pour une réunion au camp militaire de Kibomango (à Kinshasa) pour les écouter et tenter de les ramener au bercail.
Cette décision des députés a placé Joseph Kabila et son lieutenant Vital Kamerhe, président de l’assemblée nationale, dans la peur et dans l’embarras.
C’est ainsi que, selon nos sources à Kinshasa, Vital Kamerhe tenterait même de corrompre certains députés pour diviser la coalition des parlementaires de l’Est, en fait de les affaiblir et de les soumettre.
Quelques traitres
Selon les informations obtenues par Grands-Lacs Confidentiel à Kinshasa, quelques députés traitres sont favorables à la proposition du gouvernment. Il s’agit de Baji Sangara, Masu ga Rugamike, deux députés de Walungu, et de Bapolisi, un député originaire d’Idjwi, qui tentent désespérément de briser cette coalition contre l’occupation rwandaise. Ils sont qualifiés de « garçons de courses » du gouvernement Kabila.
2. DES LIENS ETROITS ENTRE KAGAME ET SARKOZY
Le Président Paul Kagame traine devant la Cour Pénale Internationale le juge français Jean-Louis Bruguière, celui-là même qui a prouvé son implication comme déclencheur du génocide rwandais et a lancé des mandats d’arrêt internationaux contre neuf de ses très proches collaborateurs.
On croirait en un scénario du chat et de la souris, mais entre un homme de la loi et un criminel mondialement reconnu, il est très clair que la souris ne l’emportera pas sur le chat.
La particularité de cette histoire réside beaucoup plus dans le momentum choisi par le criminel de Kigali pour trainer le juge Bruguière devant la justice : Pourquoi attendre l’arrivée du nouveau président français, Nicolas Sarkozy, pour lancer la plainte contre le juge Bruguière?
Le président rwandais trouverait en Sarkozy, de par ses origines, un homme qui aiderait à la cause tutsi rwandaise, eux qui se proclament « les détenteurs de la mémoire perdue des douze codes hébraïques».
Si Kagame peut être certain que Sarkozy est son frère, il ne peut certifier que ses crimes resteront indéfiniment impunis.
La France de l’après-Chirac reste donc à surveiller. Surveillez aussi si Kagame marchera sur un tapis rouge à Paris, lui, qui y est connu comme un grand criminel et qui a été dénoncé publiquement pendant le mandat de Jacques Chirac, par de nombreux témoignages et livres portant sur le génocide rwandais.
Il reste que cette demande de Kagame, à la venue d’un nouveau chef de l’Etat francais, démontre que le déclencheur du génocide rwandais a su choisir le moment ou le vent allait tourner en sa faveur.
Comme l’a démontré Grands-Lacs Confidentiel dans son édition numéro 28, du 18 avril 2000 (Voir ci-dessous 4. Nos archives revisitées - La judaïsation des tutsi : Identité ou stratégie de conquête), la nouvelle identité des tutsi du Rwanda est beaucoup plus une stratégie de conquête qu’une quête pour la vérité historique.
Kagame et Sarkozy, une histoire à suivre…
3. UNE VISITE DANS LES MURS DE L’OPPOSITION
Dans tout pays démocratique le bon fonctionnement de l’Etat dépend de la balance du pouvoir entre le gouvernement en place et l’organisation de l’opposition, en force, pour contrebalancer les dérives du parti au pouvoir.
Le malheur pour le Congo est qu’il n’a plus d’opposition, ou plutot une opposition sans vision, en ruine, et qui contribue aux maux qui le détruisent.
1. L’UDPS d’Etienne Tshisekedi : Parti politique qui jadis incarnait les rêves et les espoirs de tous les congolais, de l’est à l’ouest, du nord au sud. L’UDPS s’est désintégrée pour devenir le jardin privé d’un chef despotique qui veut faire de sont parti ce que Mobutu a fait du Congo : « C’est moi ou le chaos ».
Après avoir provoqué intentionnellement le départ de tous les pères fondateurs de l’UDPS, Etienne Tshisekedi a réduit le parti en un minuscule regroupement ethnique représenté majoritairement par les gens de sa propre ethnie, voire de son propre village. Tel est pris qui croyait prendre… Tshisekedi qui croyait accéder au pouvoir en s’entourant des siens a ruiné le parti de l’UDPS et, par ce fait même, brisé les rêves des congolais à accéder à un gouvernement démocratique beaucoup plus équilibré.
2. Jean Pierre Bemba et l’UN : Celui qui est connu comme le chef de l’opposition, l’est-il vraiment pour autant? Tous les congolais savent bien que celui qui prétend incarner le changement démocratique en RDC n’est qu’un criminel, fils d’un criminel. Son père Bemba Saolona est un de ceux-là qui ont apporté le malheur au peuple congolais. Le fils, Jean Pierre Bemba, ne rejoindra le maquis que lorsque Bemba Senior échappe à l’arrestation par Laurent-Désiré Kabila. Là commence pour son fils une mésaventure de maquisard qui le fera exceller de crime en crime, de telle sorte que son nom figure parmi les gros poissons de la Cour Pénale Internationale.
3. Honoré Ngbanda : Mobutiste convaincu, Ngbanda a su épouser malicieusement le slogan du nationalisme dans un climat ou les vrais nationalistes sont vraiment éparpillés et désorganisés. Ngbanda pour bien faire passer son message se couvre très facilement de la parole biblique, qui elle-même a fait ses victimes et ses ravages par des faux prophètes qui pullulent dans la capitale congolaise.
On ne peut nommer tous les maux qui rongent l’opposition, mais on peut affirmer que l’opposition congolaise est en panne, départagée entre les affamés du pouvoir, les cupides et les despotes, rejetant par ce fait même la mission sacrée de toute opposition qui se respecte, celle de batir sa nation et la conduire vers la paix et le développement.
Voleurs, voyous, escrocs, tous se donnent rendez-vous dans l’opposition, ainsi que dans le gouvernement.
Le role de l’opposition qui devait servir de ferment pour une conscience plus nationale, n’existe plus. Les marchands de la mort l’ont récupéré.
Il est impératif qu’émerge une nouvelle opposition aux mains propres et au passé irréprochable, consciente de sa mission sacrée, celle de mener le pays vers la reconstruction nationale.
4. NOS ARCHIVES REVISITEES:
« LA JUDAÏSATION DES TUTSI : IDENTITÉ OU STRATÉGIE DE CONQUÊTE »
Chers lecteurs,
Nous demandons votre plus grande attention!
Prenez le temps de lire attentivement et entièrement le texte ci-dessous et vous comprendrez le danger suicidaire de créer un « Tutsiland » en République Démocratique du Congo.
Aujourd'hui, l'équipe de Grands-Lacs Confidentiel revisite ses archives et vous propose une de ses publications datant d’il y a sept ans, qui vaut toute la considération d’être lue, elle montre les manipulations de la Communauté internationale contre le Congo. L'objectif de ces manipulations très organisées à des niveaux très avancés est de morceler le Congo, d'y créer une terre pour les Tutsis, et d'utiliser cette terre pour dominer toutes les régions avoisinantes à la merci des multinationales occidentales.
Dominer, c'est aussi dépeupler par des génocides (le cas actuel de la RDC peut servir d'exemple), exploiter les richesses et les personnes et réduire les habitants de ces régions libres et prospères à un statut d'esclaves. Vous comprendrez pourquoi la Communauté internationale ferme les yeux sur les cruautés et le génocide commis au Congo par le Rwanda, l’Ouganda et le Burundi.
Il s’agit là d’une œuvre soigneusement conçue et planifiée par des stratèges politiques de haut niveau pour tenter à nouveau et continuellement, de morceler le Congo. Grâce a ce texte, vous comprendrez la réponse aux questions suivantes :
Pourquoi Kagame, Nyarugabo, Ruberwa et le RCD tiennent à créer un « Tutsiland » en République Démocratique du Congo ?
Pourquoi le RCD, un parti politique qui se veut national, centre t-il ses stratégies sur une partie du territoire, à savoir l'Est de la Rd-Congo ?
Qui sont les véritables architectes d'un plan visant à forcer les Congolais à créer un « Tutsiland » au Congo?
À long terme (d'ici 20 ans ou 50 ans) à qui profiterait un tel plan ?
Les Congolais sont-ils conscients du jeu suicidaire dans lequel ils veulent s'embarquer et qui se retournera irrémédiablement contre eux, contre leur Nation, leurs enfants et leurs petits-enfants
Les Congolais sont-ils prêts à faire de leur pays, la Palestine d'Afrique ?
Peuple Congolais, ne jouez pas avec le feu, pensez-y, agissez concrètement, résistez fort et résistez longtemps. Votre chance de léguer le Congo à vos enfants et à vos petits-enfants est aujourd'hui entre vos mains. Une erreur de votre part, et vos enfants et petits-enfants perdront pour toujours la terre qui leur appartient.
Attention : Lisez les intentions viles contre le Congo et l'Afrique des Grands-Lacs. Pensez cent fois avant de commettre l'erreur irréparable contre votre pays la RD Congo. Les exemples de la destruction du Rwanda et les génocides impunis en cours en R.D Congo ne vous ont-ils pas servi de leçon ?
Si certains individus décident qu'ils descendent des pharaons, ou bien de rois bibliques (c'est-à-dire non historiques et non identifiés), ou, pourquoi pas, de Néfertiti, voire de Cléopâtre ou de la Reine de Saba, l'application du principe de liberté doit leur laisser le droit de le croire.
Mais la même liberté ne doit pas forcer autrui à les croire ni à souffrir de conséquences de leurs utopies, telle leur rage de conquête. Et en particulier, la question demeure : Même si vous descendiez des pharaons, en quoi est-ce que cela vous donnerait le droit de prendre notre terre, notre vie et le futur de nos enfants ?
Chers lecteurs, ne sous-estimez pas le pouvoir de ces textes qui ne sont qu'une tête de l'iceberg des architectes des génocides pour dépeupler les Nations. Ne sous-estimez pas non plus, le pouvoir de ces textes sur des esprits faibles ! Sachez reconnaître le danger QUI VOUS GUETTE et ne tombez pas dans les pièges qui vous sont tendus !
En avril 2000, Grands-Lacs Confidentiel avait divulgué au monde une information qui, pour certains, paraissait illusoire à ce moment-là. Le texte est devenu très populaire et pour d’autres, il a sonné comme un réveil. Ce document a été transformé et adapté à toutes les sauces et même attribué par erreur à d'autres auteurs. Mais l'authenticité de ce texte revient à Grands-Lacs Confidentiel.
Nous rééditons aujourd'hui ce document pour vous permettre de comprendre les agenda que les ennemis du Congo préparent de manière dissimulée, afin de faire perdurer les guerres en Afrique des Grands-Lacs. NOUS VOUS PRIONS de prendre le temps de le lire ATTENTIVEMENT car il en va de votre vie, celle de vos enfants et de vos petits-enfants.
Bonne lecture.
Le Texte original de GLAC
Grands-Lacs ConfidentielFondé le 13 janvier 1999. N° 28, 2ème AnnéeEdition du 18 avril, 2000
LA JUDAÏSATION DES TUTSI : IDENTITE OU STRATEGIE DE CONQUETE
Une analyse élaborée par notre rédacteur en chef.
Bruxelles, le 18 avril, 2000 (GLAC) - Depuis un certain temps, une nouvelle identification sociale est née chez les Tutsi du Rwanda, du Burundi et de l'Ouganda. La réclamation d'une l'identité juive, "les Tutsi-hebreux" ( Israéliens, peuple de Dieu, peuple saint, etc. ) fait certainement son bonhomme de chemin et de façon non hasardeuse. Elle coïnciderait avec les causes et enjeux des guerres qui bouleversent la région de Grands-lacs africains.
Au regard simpliste, cette idée renvoie à la méfiance. A l'observation minutieuse, elle suscite une série de questions fondamentales aux malheurs de l'Afrique centrale. A la lumière des révélations récentes du journal canadien 'National Post', sur les vrais déclencheurs du génocide rwandais, qui pourtant ont été couverts pendant plus de deux ans par l'Onu, la conspiration internationale de Kagame dans la guerre en Afrique centrale ne fait plus de doute. Pour les présidents rwandais, burundais et ougandais, tous les moyens sont bons pour conquérir le cœur de l'Afrique. Le processus de la judaïsation des Tutsi par rapport aux guerres qui secouent la région des grands-lacs africains en est un.
Presque deux ans après le renversement de la dictature de Mobutu au Congo, quatre ans après l'assassinat de Melchior Ndadaye au Burundi, quatre ans après l'assassinat du président Juvenal Habyarimana, comme au hasard, « Jérusalem Post » dans son édition du 23 novembre 1998 déclarait officiellement pour la première fois ce qui circulait en rumeur depuis un certain temps :
« Nous lançons un appel à Israël et à la Communauté internationale pour condamner et prendre des actions contre toute violence anti-israélite perpétrée par les non-israéliens à travers l'Afrique, y compris plus de 500 000 Tutsi-Hebreux Israéliens au Rwanda » .
Cette révélation allait donner un autre aspect certainement moins apparent mais très important à la crise qui secoue l'Afrique centrale et en particulier le Congo.
Mardi 11 mai 1999, le journal canadien « National Post » publiait à la page 17, un grand article sur les Lemba, un autre peuple noir, qui allègue certifier après analyses que selon les gênes sanguins qui déterminent l'hérédité, les Lemba seraient des juifs noirs descendants de Aron. L'article cite David B. Goldstein, un juif, géniticien à Oxford (Angleterre) : « Le problème est qu'il y a eu des mixages avec les populations hôtes, ce qui a obscurci leur ascendance ». Cette façon de définir les termes « mixage » et « population hôte » a une connotation raciste. Car pour lui, certains ancêtres sont des vrais ancêtres et d'autres ne le sont pas.
UNE CONFÉRENCE DANS LA CONFIDENTIALITÉ
Dimanche 10 octobre 1999 une réunion est annoncée à Bruxelles dans la plus grande discrétion : c'est la conférence de Havila. Le lieu aménagé pour la conférence est le prestigieux Centre de Séminaires de l'Hôtel Mercure situé en bordure du cadre exquis du Parc de Lauzelle, dans le Brabant Wallon belge . Pour bien et rapidement situer le lecteur, mentionnons que « Havila » est le mot attribué à la région des Grands-lacs par ce mouvement de la judaïsation des tutsis. La conférence inaugurale des activités académiques de l'Institut de Havila s'annonce par la judaïsation de tous les Tutsi :
Sous le signe des armoiries hébraïques de Havila : l'Etoile de David, caractéristique des Etats modernes d'Israël et du Burundi ; les Tambours de Salomon dont les Souverains shebatiques de Havila sont les gardiens, autour des Sources les plus méridionales du Fleuve sacré des Pharaons (le Pishon biblique ou Nil) ; un fragment des Hassarad Hadivarim (les Dix Commandements de Moïse) qui sont la marque de l'Alliance mosaïque et la figuration de la « mémoire perdue » des peuples hébraïques de Havila.
L'INSTITUT DE HAVILA
Un « Institut des Grands-Lacs » existe depuis un certain temps et regroupe dans la plus grande discrétion les grands intellectuels Tutsis à travers le monde. Dans les milieux Tutsis, il s'appelle « Institut de Havila » et « rassemble pas moins de sept centres de Recherche d'Intervention et de Rayonnement, implantés sur presque tous les continents ». Ces centres ont l'objectif commun de restituer et de faire revivre la « mémoire perdue » des douze codes hébraïques qui ont caractérisé, depuis des millénaires, la civilisation des peuples kushitiques de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.) … et gardiens des Mines du Roi Salomon. Chacun de sept centres de l'institut de Havila a sa mission. Selon l'importance de sept centres de l'institut de Havila, mentionnons :
1) Le Centre « GEDEON » : « Observatoire de la situation sécuritaire et stratégique des peuples shebatiques de Havila… Il fait régulièrement rapport à l'Institut afin que les membres de Havila s'habituent à avoir les pieds sur terre… d'avoir l'œil rivé sur les contradictions de l'histoire présente, faites de crises transitionnelles, d'affrontements armés… ».
2) Le Centre « ROI SALOMON », s'occupe de l'Analyse économique et financière dans Havila. Comme par hasard, devons-nous rappeler les expressions véhiculées par les promoteurs de cette conquête en Afrique centrale : "Mines du roi Salomon" (le Kivu), les « Pipelines du Roi Salomon » (projet en cours avec le gouvernement Kabila pour offrir l'eau du Fleuve Congo à Israël). En essence, comme pour le cas du nom « Mulenge » dans la guerre actuelle qui a commencé au Kivu, la mission que se donne « le Centre Roi Salomon » de l'Institut Havila, soulève la curiosité de savoir ce qui restera aux Congolais en tant que peuple.
3) Centre « HAKIM » rassemble des spécialistes en Médecine, en sciences naturelles, en Ecologie, chargés d'étudier les conditions ecosystémiques dans lesquelles ont émergé les civilisations anciennes de Havila, le mode de vie et d'alimentation des peuples de Havila, qui en ont fait dans le temps des peuples de centenaires, comme les Caucasiens.
4) Le Centre « MULENGE » a la mission de maîtriser ce qu'on appelle les Nouvelles Technologies de Communication ; il doit rassembler la documentation, les pièces d'archives, relatives à Havila, mais aussi publier, dans les Annales de Havila des dossiers documentaires sur toute question jugée cruciale par la direction de l'Institut. Le Centre d' »ISHANGO », qui appuie MULENGE, s'occupe notamment des questions logistiques ; il est chargé entre autres de collecter des pièces de Musée caractéristiques des peuples anciens de Havila, d'organiser des manifestations culturelles et folkloriques spécifiques aux civilisations de Havila, de faire fonctionner la « Fabrique d'Ishango » au sein de laquelle des artisans spécialisés reconstituent l'art et l'artisanat salomonique de Havila ;
5) Le Centre « TECHOUVHAH » s'occupe de la connexion mémorielle des peuples hébatiques du Nil Blanc : Havila (Grands-Lacs) et du Nil Bleu : Guihon (Ethiopie, Somalie, Erythrée, Ogaden, Ghana, Nigeria), etc.
6) Le Centre « SACEGA » : Souvenir de l'institution du bâton de justice et de gouvernement dans Havila. En Kirundi ce bâton "Intahe" rappelle "la déconnection physique et mémorielle des peuples de Havila par rapport à la mémoire de l'antique Israël, dont ils gardent néanmoins les codes salomoniques et mosaïques, coulés dans des traditions multimillenaires, jusqu'ici épargnées de toute tentative de décodage systématique".
7) Le Centre « BILKIS-REINE DE SABA » qui avait organisé cette conférence, est chargé de l'Analyse et de l'Intervention politique et diplomatique pour les questions relatives au destin des peuples de Havila ;
Pour les Tutsis, la prophétie a ses caractéristiques : pas le retour historique vers Israël, mais le retour vers l'Israël prophétique… que figure la « Techouvha », …l'espérance de la réunification des « Tribus perdues d'Israël » qui est l'espérance mystique centrale du peuple d'Israël, disperse aux quatre coins de la terre, depuis la destruction du premier Temple et la déportation à Babylone (-586) qui marque la dispersion dans les Nations.
Les sources de Grands-Lacs Confidentiel indiquent que les grands intellectuels Tutsis ont célébré le « troisième millénaire », par « la réunification physique des tribus perdues de Havila, de Guihon et du Fouta-Djalon ». Un "gigantesque festival" était tenu pendant 10 jours (du dimanche 24 octobre au mardi 2 novembre 1999) à AGULERI dans l'Igboland (au Nigeria). Période conforme à la fête juive de la sortie de l'esclavage d'Egypte.
LES ORGANISATEURS
Retenons quelques noms : l'"African Hebrew Organisation", la "King Solomon Sephardic Federation (KSSF)" et la diaspora juive rassemblée dans le "Groupe industriel RIVKIN TECHNOLOGY".
LA BIBLE, LES MYTHES ET LES FAUSSES PROPHÉTIES
Vendredi le 18 septembre 1998 dans un article « L'or du Kivu, engin caché du conflit en RDC », Agence France Presse écrivait : « Une légende vivace dans l'Est congolais situe les mines d'or du roi Salomon dans cette zone » (Kivu), territoire qui alors était et qui reste encore sous le contrôle jaloux de Paul Kagame, le président rwandais de facto. Aujourd'hui comme alors, le pillage de l'or du Kivu battait son plein.
Une autre version veut que ceux qui appuient les Tutsis dans la guerre de conquête au Congo expliquent l'invasion actuelle au Congo par la bible. A la conférence de Havila, quelques versets bibliques sont lus : le livre d'Exode 4, 17 ; 17, 5 ; 3,10 ; 3, 16-20 et 17, 5-7.
Selon eux, la guerre actuelle de conquête tutsie dans la région de Grands-Lacs, 'HAVILA', et surtout au Congo est « un fait prophétique, une volonté de Dieu Israël ». Et pour preuve disent-ils le livre biblique d'Esaie, chapitre 18, verset 1-2 est leur appui. Ici on parle des "peuples de grande taille" (les Tutsis) qui hériteraient le pays situé entre deux fleuves au sud de l'Ethiopie (le ongo). Cette région serait donc l'actuelle région des grands-lacs africains ou simplement en termes « Tutsis-Hebreux » : "la terre sacrée de Havila", "la mémoire perdue de douze codes hébraïques…des peuples kushites de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.)"
UN NOM NOUVEAU, L'EMPIRE HIMA-TUTSI
Selon un document confidentiel parvenu à Grands-Lacs Confidentiel , les ambitions d'un empire Hima sont plus réelles que nos lecteurs ne peuvent s'imaginer. La région de grands-lacs a une nouvelle appellation : « HAVILA », « la terre sacrée de Havila » ou « la mémoire perdue de douze codes hébraïques…des peuples kushites de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.) ». Géographiquement, partant de cette dernière citation, la terre sacrée de Havila se dessine comme suit;
Rwanda : l'actuel Rwanda, pays de mille collines avec capitale Kigali,
Burundi : capitale Bujumbura,
Buha : du nom Baha ou Muha (au singulier) ; peuple de la Tanzanie occidentale. Par extension, Buha désigne la Tanzanie.
Ankole : Région de l'Ouganda occidental habitée majoritairement par les Banyankole, tribu à laquelle le Président Museveni s'identifie par trichement.
Buhavu : Région habitée par les Bahavu c'est-à-dire l'actuelle région du Kivu de la République démocratique du Congo. Le nom du chef-lieu du Sud-Kivu, "Bukavu" serait une déformation du mot Buhavu.
L'Empire des « Tutsis-Hebreux », « la terre sacrée de Havila » (la région des grands-Lacs africains) englobera donc les pays suivants : Rwanda, Burundi, Buha (Tanzanie), Ankole (Uganda), Buhavu (Kivu, province orientale du Congo), etc.
LES TENORS DE LA CONFERENCE
Que le lecteur se démystifie de la légèreté de cet empire Hima-Tutsi. Pour fait, les maîtres à penser de cet empire sont des personnes hautement instruites qui ont tissé des relations avec certains groupes juifs et plusieurs partenaires occidentaux qui leur permettront de réaliser leur projet au prix des richesses abondantes dont regorgent ces Etats.
A titre d'exemple, nos sources indiquent que depuis la prise de Kindu en RDCongo, en octobre 1999, Paul Kagame a exporté au Rwanda « 950 tonnes de cassitérite traitée en laboratoires, 280 tonnes de colombo-tantalite (pillées à la SOMINKI), 11 000 tonnes de maïs, 4500 fûts d'huile de palme ; de quoi se nourrir suffisamment, consolider les alliances et acheter des nouvelles armes pour massacrer les Congolais ».
Parmi les grands ténors de l'Institut de Havila citons entre autres :
1. Jean BWEJERI : " Professeur, universitaire de haut vol, connu dans le monde de l'enseignement et de la recherche depuis une quinzaine d'années. Formé à l'Ecole de la Nouvelle Linguistique qui a revêtu les formes de la Pragmatique linguistique, de l'Analyse du Discours et de la Nouvelle Communication, il consacre actuellement le maximum de son temps et de ses compétences à la recherche post-universitaire orientée vers la trans-disciplinarité en sciences humaines, ratissant d'une traite les champs de la Critique littéraire et textuelle, de la Nouvelle Linguistique, de l'Analyse du Discours, de l'Histoire ancienne et moderne, de l'Anthropologie africaine, de l'Analyse sociologique et politique, de l'épistémologie contemporaine des sciences sociales, des études bibliques, de la philosophie générale et africaine ".
2. Maître Matthias NIYONZIMA : " Avocat au Barreau de Bruxelles. Docteur en Droit de la KUL et Lauréat de la prestigieuse Académie de Droit International de La Haye, ce brillant avocat enseigne actuellement à l'Université de Nantes. Il est spécialiste des questions relatives au Droit Africain Comparé, au Droit des Affaires et au Droit du Commerce, International ".
3. Capitaine CIRAMUNDA Richard-Delvaux : Coordonnateur du Centre GEDEON pour la Stratégie et la Défense dans Havila. " Ce jeune officier est spécialiste en Criminologie et en Etudes de stratégie militaire. Il a obtenu ses diplômes universitaires et militaires à l'Ecole Royale Militaire de Bruxelles et a choisi de mettre ses capacités d'analyse et d'engagement à la disposition de l'Institut de Havila, qui a urgemment besoin de comprendre et de faire comprendre au monde International ce qui se passe sur le terrain, en termes de stratégies géopolitiques et d'opérations militaires ".
4. M. Gaspard KIROMBO : Coordonnateur du Centre MULENGE. " Lauréat de la Faculté des Sciences Politiques et Sociales de l'UCL, et diplômé des Sciences Religieuses de la même Université, M. KIROMBO avait accepté d'être Modérateur de cette Conférence inaugurale ".
5. Le même document confidentiel, mentionne aussi 'la diaspora juive rassemblée dans le Groupe industriel RIVKIN TECHNOLOGY '.
D'autres sources nous indiquent que parmi les conseillers stratégiques pour l'implantation de l'empire Havila, on retrouve des personnalités comme Kimenyi Alexandre (Professeur, américain d'origine tutsi-rwandaise), Déogratias Bugera (ancien réfugié rwandais au Congo passé pour un munyamulenge), Bizimana Karahamuheto (cousin de Kagame, originaire du Rwanda, un autre munyamulenge), Jérôme Gapangwa Nteziryayo (Evêque d'Uvira, Docteur en Histoire Ecclésiastique) et quelques hommes d'affaires tutsis.
LES FAITS DE LA GUERRE
Le prestigieux journal tanzanien "Daily Mail", dans son édition du 14 janvier 1999 sous le titre de "George Bush, Museveni own shares in Congo mines" publiait un article dans lequel il pointait du doigt un ancien général de l'armée israélienne David Agmon comme l'un des hommes qui pillent les minerais congolais dans le territoire congolais occupé par le Rwanda.
Les sources fiables ont indiqué à Grands-Lacs Confidentiel que les armes qui ruinent le Congo viennent de la Roumanie, des Etats-Unis et d'Israël. Elles sont envoyées au Rwanda et en Ouganda sous prétexte « de coopération bilatérale militaire » avant d'être acheminées au Congo par le Rwanda ou l'Ouganda. Les mêmes sources indiquent que certains dignitaires du gouvernement israélien fournissent des armes à Museveni et Kagame.
Panafrican News Agency (PANA) dans un article daté du 27 janvier 2000 venait encore renforcer ce qui était alors repris comme légende par AFP. Annonçant un projet consistant à drainer l'eau du fleuve Congo pour l'offrir gratuitement aux Israéliens, PANA révèle que le projet prendrait le même nom juif qui véhiculait les mythes des minerais au Kivu. Le projet de l'eau du fleuve Congo s'appellerai : « les Pipelines de Salomon ».
Ce projet ambitieux mettant ensemble certains congolais de la diaspora et des hommes d'affaires américains est une affaire qui ne convainc que les initiateurs. A la lumière des origines de la guerre actuelle au Congo et les conséquences sur sa population, est-il inapproprié que quelques ministres du gouvernement en guerre, décident sans consulter la population, d'une question aussi capitale et importante que l'eau du fleuve Congo, question qui implique toute la vie d'une nation pendant plusieurs générations à venir ?
En toute bonne foi, le Congo n'a pas vraiment de spécialistes environnementaux et hydrologues qui peuvent démontrer hors de tout doute que le projet « Salomon Pipeline » n'aura pas d'impact sur le Congo dans les générations futures. Par contre, ceux qui en profiteront n'auront pas de peine à faire avaler aux Congolais qu'il n'y aura aucun danger ou impact environnemental. Dans les pays organisés, une question comme celle de « Salomon Pipeline » aurait nécessité un référendum pour recueillir l'opinion populaire.
Au bureau de Westrac (la compagnie du projet « Salomon Pipeline »), on se contente d'expliquer cela avec une extrême légère simplicisante : « C'est l'eau qui va ramener la paix » au Congo (car Salomon signifierait paix). C'est un projet qui va transformer le Congo, moins que ne l'ont fait ses fils et filles pendant 40 ans passés ; avec la construction des "églises, mosquées, hôpitaux, stationnements, parcs, logement, centres commerciaux et des écoles'.
CONNECTION AUX MÉDIAS BELGES
Au lendemain de la conférence de Havila, les connections Tutsies belges font diffuser par "coïncidence historique" à la chaîne culturelle francophone « Club RTL » le célèbre long métrage d'Andrew COMPTON et Bennett MARTON consacré aux Batutsi de Havila, sous le titre évocateur : « Les Mines du Roi Salomon ». Avec Havila tout n'est pas fini, quelque chose de nouveau commence, un réseau qui tisse des connivences avec les Américains, les Juifs, les Belges etc. pour disloquer le Congo et mieux dominer la région de grands-lacs africains. Le président Kabila avait tout compris quand il avertissait d'avance les Congolais que la guerre va « trop durer ».
Le texte est disponible au lien suivant :
http://www.laconscience.com/imprimer.php?id_article=3421
GLAC.
=============================
QUI EST GRANDS-LACS CONFIDENTIEL ?
GRANDS-LACS CONFIDENTIEL (GLAC) a été fondé le 13 janvier 1999 en signe de contestation du « rideau de silence » que la mafia impérialiste avait imposé à l’Afrique centrale ou des milliers d’humains étaient massacrés comme des mouches. Cette conspiration monstrueusement criminelle était très flagrante dans les grands médias planétaires. GLAC est né en tant que refus de l’inaction et du silence face aux génocides bénis par les maîtres de la mondialisation.
GLAC soutient l’émergence d’une presse mondiale qui fournit une information beaucoup plus équilibrée et qui défend les sans-voix.
Grands-Lacs Confidentiel est une agence de nouvelles spécialisée sur la région des grands-lacs africains. Publication uniquement diffusée par courrier électronique (e-mail), GLAC reste incontestablement l’agence des nouvelles la plus ancienne et la plus lue de son genre. Tous ceux qui s’intéressent à l’Afrique des Grands-Lacs et à ses enjeux-clés lisent GLAC.
De la Nouvelle-Zélande aux États-Unis en passant par l’Europe scandinave et l’Afrique du Sud, GLAC compte plus de 8000 abonnés directs.
mercredi 30 mai 2007
DEMANDE DE DELIVRANCE D’UN MANDAT D’ARRET INTERNATIONAL A L’ENCONTRE DE Monsieur GUY VERHOFSTADT, LE PREMIER MINISTRE BELGE
Monsieur MARIYUS NOKO NGELE
DE QUOI SE GRATTER LA TETE, PAUVRE PREMIER MINISTRE !!!
QUAI DU COMMERCE N°22/52
1000 BRUXELLES/Belgique
DEMANDE DE DELIVRANCE D’UN MANDAT D’ARRET INTERNATIONAL A L’ENCONTRE DE Monsieur GUY VERHOFSTADT, LE PREMIER MINISTRE BELGE
A Monsieur LUIS MORENO-OCAMPO Procureur Près la Cour Pénale Internationale (CPI)
MAANWEG, 174
2516 AB, LA HAYE / PAYS-BAS
CONCERNE : Requête aux fins de constitution de partie civile contre monsieur GUY VERHOFSTADT, le Premier Ministre belge pour GENOCIDE du PEUPLE CONGOLAIS - CRIMES DE GUERRE AU CONGO ET CRIMES CONTRE L’HUMANITE.
Monsieur le Procureur,
L’article 27 alinéas 1-2 du statut de Rome traitant le défaut de pertinence de la qualité officielle dit :
Le présent statut de Rome s’applique à tous de manière égale, sans aucune distinction fondée sur la qualité officielle. En particulier, la qualité officielle de chef de l’Etat ou de gouvernement, d’un parlement, de représentant élu ou d’agent d’un Etat, n’exonère en aucun cas de la responsabilité pénale au regard du présent statut, pas plus qu’elle constitue en tant que telle un motif de réduction de la peine.
Les immunités ou règles de procédure spéciales qui peuvent s’attacher à la qualité officielle d’une personne, en vertu du droit interne ou de droit international, n’empêche pas la cour d’exercer sa compétence à l’égard de cette personne.
M’appuyant sur l’article 30-3 qui affirme que : « sauf disposition contraire, nul n’est pénalement responsable et ne peut être puni à raison d’un crime relevant de la compétence de la cour que si l’élément matériel du crime est commis avec intention et connaissance »,
Allant démontrer avec preuves que la responsabilité pénale de Monsieur GUY VERHOFSTADT est individuellement engagée car il a toujours agit AVEC INTENTION ET CONNAISSANCE ;
Moi, Monsieur MARIYUS NOKO NGELE, né à KINSHASA en République Démocratique du Congo (RDC), le 23 mars 1963 ; citoyen européen d’origine belge, résidant à 1000 Bruxelles, rue Quai du commerce n°22/52- Belgique, viens par la présente requête porter plainte contre monsieur GUY VERHOFSTADT le Premier Ministre belge pour 5 chefs d’accusation énumérées ci-dessous.
RAPPEL DES FAITS.
La situation dramatique que vit les populations congolaises a un lien de causalité directe avec la volonté explicite de Monsieur GUY VERHOFSTADT de recoloniser la République Démocratique du Congo par personnes interposées, afin de piller ses ressources naturelles pour soutenir l’économie de la Belgique, en réduisant au passage les congolais en esclaves aussi bien au Congo RDC qu’en Belgique où vit une grande diaspora
Sa genèse remonte à première législature de Monsieur GUY VERHOFSTAD 1997-2002 et qui s’est intensifié pendant la seconde 2002-2007.
En sa qualité de chef de gouvernement de la Belgique qui se considérait (jusqu’avant la présente requête) comme une grande puissance au Congo RDC, au point de se permettre de parler au nom du peuple congolais comme si ce dernier n’existait pas, s’est lancé dans le processus de la recolonisation du Congo RDC en trois phases :
Phase I : L’occupation illégale du territoire congolais par personnes interposées avec multiple complicités nationales et internationales : A REUSSI JUSQU’ICI !
Phase II : La légitimation de HYPPOLITE KANAMBE grâce à l’intense appui actif de monsieur Louis Michel qui le rebaptise en JOSEPH KABILA, croyant trompé les congolais et la communauté internationale si facilement : A FAILLI REUSSIR !
Phase III : Le PILLAGE A GRANDE ECHELLE de la République Démocratique du Congo par la WALLONIE (Belgique) : NE POURRA PLUS JAMAIS REUSSIR !
.La manœuvre de recolonisation du Congo de Monsieur GUY VERHOFSTADT par la plus grande escroquerie électorale de toute l’humanité ayant totalement échoué, il choisit intentionnellement de soutenir en toute connaissance de cause des graves violations (annexe I) de droits de l’homme et des crimes commis par des citoyens belges dont :
Monsieur Louis Michel, des affaires étrangères devenu commissaire européen, l’homme orchestre de ce plan de recolonisation et d’esclavage du peuple congolais. Comme le prouvent ses propres déclarations quelques temps seulement après l’assassinat de Laurent Désiré KABILA le 16 janvier 2001, il y a des motifs raisonnables de croire qu’il y a joué un rôle incontournable. Pire, en cachant aux congolais et à la communauté internationale LA VERITE CAPITALE sur la nationalité rwandaise de son protégé HYPPOLITE KANAMBE qu’il baptisera après au nom de JOSEPH KABILA l’actuel « président » du Congo RDC (annexe II), Monsieur Louis Michel envoie des Millions des vies humaines directement à la mort. Il savait et sait très bien que celui qui se fait passer pour JOSEPH KABILA est un faussaire : Il a une fausse nationalité, un faux diplôme et un faux scrutin. Pour protéger ce secret de polichinelle dénoncé que Madame Nlandu Marie-Thérèse ancienne candidate et Monsieur KOTINO un pasteur protestant évangéliste, il les fait arbitrairement arrêtés. Les remerciements après libération de prison que Madame NLANDU Marie- Thérèse à adresser à Monsieur Louis Michel et la réduction en silence depuis qu’elle est en Belgique démontre à suffisance le niveau de la terreur que fait peser Louis Michel sur bon nombre (98 %) d’acteurs politiques congolais. J’ai officiellement introduit auprès du Président de parlement européen Monsieur Hans-Gert Pöttering et auprès du commissaire européen à la justice Monsieur Franco FRATTINI, une demande du lancement de la procédure de sa destitution en tant que commissaire européen et la délivrance d’un mandat d’arrêt européen à son encontre pour crimes organisés et financements du terrorisme (annexe III).
André Flahaut, Ministre de la défense belge, pour se justifier par rapport à la mise en demeure que je lui avais adressée par lettre recommandée avec accusé de réception pour protester contre son intention d’élever le prétendu JOSEPH KABILA au rang de DOCTEUR HONORIS CAUSA de l’école royale militaire de Bruxelles (annexe IV), Monsieur le Ministre avait affirmé : « je ne fais qu’appliquer la politique du Premier Ministre… ». selon laquelle, sous prétexte de réorganiser l’armée régulière congolaise, il fallait anéantir le système, déjà presqu’inexistant, défensif de la République Démocratique du Congo RDC, entre autre en y élevant au rang de général, un criminel rwandais contre qui un mandat d’arrêt international a été lancé pour crimes contre l’humanité : Laurent NKUNDA BATUARE. Le fameux « brassage » entre les forces armées rebelles et l’armée régulière congolaise, cher à André Flahaut ne sert en réalité que de moyen légal pour détourner une grande partie de l’aide financière envoyée au Congo dans le cadre de la coopération internationale dont l’opacité des transactions exclus toute possibilité de contrôle. Ce budget est principalement utilisé pour payer très confortablement NKUNDA BATUARE et ses miliciens pendant que les militaires congolais de l’armée régulière sont « cassés » psychologiquement dans une série d’humiliation dont la perception d’un solde de misère avec des arriérés allant jusqu’à trois minimum. Mal payés, les soldats congolais sont contraints de vendre les armes et munition qu’ils reçoivent afin de survivre. C’est là, selon le GRISP une ONG expert en analyse de conflits armés, une des principales sources de trafic d’arme dans le Congo RDC, plus précisément à l’EST. C’est la plus redoutable arme de guerre utilisée contre le Congo RDC par le gouvernement belge de Guy VERHOFSTADT.
Armand De Decker, Avec un mépris sans nom, il a publiquement tenu des propos NEGATIONISTES à l’encontre des Martyrs du Bas-Congo du 22-23 mars 2007 exécutés de sang froid à l’arme lourde pour avoir seulement dénoncé la fraude électorale. Il ne s’en est jamais excusé et Monsieur Guy Verhofstadt ne lui en ’a jamais reproché…la corruption institutionnalisée dans tout l’appareil étatique congolais est la seule mission de son ministère qu’il ait réussi.
Pierre Chevalier, sénateur belge, en association criminelle avec monsieur Louis Michel par le biais de l’homme d’affaire Georges Arthur FORREST. Il est pressenti pour représenter la Belgique au sein du conseil de sécurité des Nations-Unies alors qu’il n’est d’une honorabilité irréprochable (annexe V)
Georges Arthur FORREST, A un moment il était à la fois conseiller au Ministère du commerce extérieur sur recommandation de monsieur Louis Michel et de monsieur Pierre Chevalier, consul honoraire de France à Lubumbashi-RDC et Président Directeur de la Gécamines. Aujourd ’hui, il ne fait seulement que piller le Congo avec la bénédiction de Guy VERHOFSTADT, le premier ministre belge.
CHEFS D’ACCUSATION
Crime de génocide du peuple congolais : article 6-a)-b)-c) et 25-3 ;
Bien qu’étant suffisamment et en temps utile informé, Monsieur Guy Verhofstadt n’a jamais fait le nécessaire pour prendre les dispositions légales pour empêcher les massacres des populations civiles congolaises du fait de l’implication des criminels belges opérant au Congo.
Crimes contre l’humanité : article 7-1 c) et 23- 3 b) réduction en esclavage du peuple congolais par le gouvernement belge sous les deux législatures Guy Verhofstadt ; article 7-1 k) Actes inhumains consistant à infliger de grandes souffrances au peuple congolais.
Crimes de Guerre : article 8-2 III) système d’humiliation des militaires congolais vis-à-vis des miliciens du rebelle rwandais Laurent Nkunda Batuare, intentionnellement montée par le Ministre de la défense belge Monsieur André Flahaut afin de détruire toute possibilité d’organisation de l’armée régulière congolaise à terme. Les miliciens du rwandais Nkunda Batuare mieux équipé sont confortablement payés avec le budget national congolais pendant que leurs homologues congolais sont à 80 % impayés avec des arriérés de solde allant jusqu’à trois mois.
Autre élément de preuve en sus :
- Déposition à l’audience des témoins à charge.
- Conclusion d’analyse scientifique.
Monsieur le Procureur,
Eu égards à la gravité de ce qui précède, considérant irréparables les préjudices que je subirais personnellement, par le fait que Monsieur Guy Verhofstadt se soustrait à la justice à l’avantage d’une réélection aux élections législatives belges prévu pour ce 10 juin 2007;
Estimant qu’il est vital de s’assurer que Monsieur Guy Verhofstadt n’use pas de son influence pour faire obstacle à l’enquête ni n’en compromette le déroulement, que ce soit individuellement ou collectivement, et qu’il ne poursuive ou ne fasse poursuivre l’exécution des crimes dont je lui fais grief relevant de la compétence de la cour pénale internationale,
Par la présente requête, je demande la délivrance d’un MANDAT D’ARRET en l’encontre de Monsieur GUY VERHOFSTADT, le Premier Ministre Belge.
Rappelant la doctrine juridique universelle et humanitaire selon laquelle que toute personne ayant la possibilité d’assister une autre personne en danger de mort, commet un crime s’il ne le fait pas,
Réaffirmant ma détermination à honorer la mémoire de plus de 6 MILLIONS des mes frères et sœurs congolais génocidés des faits directs et collatéraux de la politique menée par monsieur Guy VERHOSTADT vis-à-vis du Congo, je refuse de me taire encore moins cautionner ces atrocités.
Aussi, en tant que citoyen du monde d’abord, ensuite citoyen européen d’origine africaine par la République Démocratique du Congo RDC, je saisi de tous mes droits fondamentaux pour demander justice et réparation à votre auguste cour dans l’intérêt de toute l’humanité entière.
Je prie votre honneur de déclarer ma requête fondée en droit et en fait aux termes de l’article 17 du statut de Rome. Vous aurez rendu justice et renforcé davantage la crédibilité de votre cour.
En vous remerciant d’avance pour l’attention particulière que vous accorderez à ma requête, je vous de croire Monsieur le Procureur en mes sentiments distingués. Fasse que grâce votre impartialité et vos actions l’impunité soit réduite à sa plus simple expression.
Fait à Bruxelles, le 23/ Mai/2007 Monsieur MARIYUS NOKO NGELE
Autres pièces jointes :
- Copie de ma lettre remise au Roi des Belges Albert II (annexe VI)
Contact : + 00 32 484 92 67 78 http://fr.f232.mail.yahoo.com/ym/Compose?To=mariyus_be@yahoo.fr http://congogate.over-blog.net/
1000 BRUXELLES/Belgique
DEMANDE DE DELIVRANCE D’UN MANDAT D’ARRET INTERNATIONAL A L’ENCONTRE DE Monsieur GUY VERHOFSTADT, LE PREMIER MINISTRE BELGE
A Monsieur LUIS MORENO-OCAMPO Procureur Près la Cour Pénale Internationale (CPI)
MAANWEG, 174
2516 AB, LA HAYE / PAYS-BAS
CONCERNE : Requête aux fins de constitution de partie civile contre monsieur GUY VERHOFSTADT, le Premier Ministre belge pour GENOCIDE du PEUPLE CONGOLAIS - CRIMES DE GUERRE AU CONGO ET CRIMES CONTRE L’HUMANITE.
Monsieur le Procureur,
L’article 27 alinéas 1-2 du statut de Rome traitant le défaut de pertinence de la qualité officielle dit :
Le présent statut de Rome s’applique à tous de manière égale, sans aucune distinction fondée sur la qualité officielle. En particulier, la qualité officielle de chef de l’Etat ou de gouvernement, d’un parlement, de représentant élu ou d’agent d’un Etat, n’exonère en aucun cas de la responsabilité pénale au regard du présent statut, pas plus qu’elle constitue en tant que telle un motif de réduction de la peine.
Les immunités ou règles de procédure spéciales qui peuvent s’attacher à la qualité officielle d’une personne, en vertu du droit interne ou de droit international, n’empêche pas la cour d’exercer sa compétence à l’égard de cette personne.
M’appuyant sur l’article 30-3 qui affirme que : « sauf disposition contraire, nul n’est pénalement responsable et ne peut être puni à raison d’un crime relevant de la compétence de la cour que si l’élément matériel du crime est commis avec intention et connaissance »,
Allant démontrer avec preuves que la responsabilité pénale de Monsieur GUY VERHOFSTADT est individuellement engagée car il a toujours agit AVEC INTENTION ET CONNAISSANCE ;
Moi, Monsieur MARIYUS NOKO NGELE, né à KINSHASA en République Démocratique du Congo (RDC), le 23 mars 1963 ; citoyen européen d’origine belge, résidant à 1000 Bruxelles, rue Quai du commerce n°22/52- Belgique, viens par la présente requête porter plainte contre monsieur GUY VERHOFSTADT le Premier Ministre belge pour 5 chefs d’accusation énumérées ci-dessous.
RAPPEL DES FAITS.
La situation dramatique que vit les populations congolaises a un lien de causalité directe avec la volonté explicite de Monsieur GUY VERHOFSTADT de recoloniser la République Démocratique du Congo par personnes interposées, afin de piller ses ressources naturelles pour soutenir l’économie de la Belgique, en réduisant au passage les congolais en esclaves aussi bien au Congo RDC qu’en Belgique où vit une grande diaspora
Sa genèse remonte à première législature de Monsieur GUY VERHOFSTAD 1997-2002 et qui s’est intensifié pendant la seconde 2002-2007.
En sa qualité de chef de gouvernement de la Belgique qui se considérait (jusqu’avant la présente requête) comme une grande puissance au Congo RDC, au point de se permettre de parler au nom du peuple congolais comme si ce dernier n’existait pas, s’est lancé dans le processus de la recolonisation du Congo RDC en trois phases :
Phase I : L’occupation illégale du territoire congolais par personnes interposées avec multiple complicités nationales et internationales : A REUSSI JUSQU’ICI !
Phase II : La légitimation de HYPPOLITE KANAMBE grâce à l’intense appui actif de monsieur Louis Michel qui le rebaptise en JOSEPH KABILA, croyant trompé les congolais et la communauté internationale si facilement : A FAILLI REUSSIR !
Phase III : Le PILLAGE A GRANDE ECHELLE de la République Démocratique du Congo par la WALLONIE (Belgique) : NE POURRA PLUS JAMAIS REUSSIR !
.La manœuvre de recolonisation du Congo de Monsieur GUY VERHOFSTADT par la plus grande escroquerie électorale de toute l’humanité ayant totalement échoué, il choisit intentionnellement de soutenir en toute connaissance de cause des graves violations (annexe I) de droits de l’homme et des crimes commis par des citoyens belges dont :
Monsieur Louis Michel, des affaires étrangères devenu commissaire européen, l’homme orchestre de ce plan de recolonisation et d’esclavage du peuple congolais. Comme le prouvent ses propres déclarations quelques temps seulement après l’assassinat de Laurent Désiré KABILA le 16 janvier 2001, il y a des motifs raisonnables de croire qu’il y a joué un rôle incontournable. Pire, en cachant aux congolais et à la communauté internationale LA VERITE CAPITALE sur la nationalité rwandaise de son protégé HYPPOLITE KANAMBE qu’il baptisera après au nom de JOSEPH KABILA l’actuel « président » du Congo RDC (annexe II), Monsieur Louis Michel envoie des Millions des vies humaines directement à la mort. Il savait et sait très bien que celui qui se fait passer pour JOSEPH KABILA est un faussaire : Il a une fausse nationalité, un faux diplôme et un faux scrutin. Pour protéger ce secret de polichinelle dénoncé que Madame Nlandu Marie-Thérèse ancienne candidate et Monsieur KOTINO un pasteur protestant évangéliste, il les fait arbitrairement arrêtés. Les remerciements après libération de prison que Madame NLANDU Marie- Thérèse à adresser à Monsieur Louis Michel et la réduction en silence depuis qu’elle est en Belgique démontre à suffisance le niveau de la terreur que fait peser Louis Michel sur bon nombre (98 %) d’acteurs politiques congolais. J’ai officiellement introduit auprès du Président de parlement européen Monsieur Hans-Gert Pöttering et auprès du commissaire européen à la justice Monsieur Franco FRATTINI, une demande du lancement de la procédure de sa destitution en tant que commissaire européen et la délivrance d’un mandat d’arrêt européen à son encontre pour crimes organisés et financements du terrorisme (annexe III).
André Flahaut, Ministre de la défense belge, pour se justifier par rapport à la mise en demeure que je lui avais adressée par lettre recommandée avec accusé de réception pour protester contre son intention d’élever le prétendu JOSEPH KABILA au rang de DOCTEUR HONORIS CAUSA de l’école royale militaire de Bruxelles (annexe IV), Monsieur le Ministre avait affirmé : « je ne fais qu’appliquer la politique du Premier Ministre… ». selon laquelle, sous prétexte de réorganiser l’armée régulière congolaise, il fallait anéantir le système, déjà presqu’inexistant, défensif de la République Démocratique du Congo RDC, entre autre en y élevant au rang de général, un criminel rwandais contre qui un mandat d’arrêt international a été lancé pour crimes contre l’humanité : Laurent NKUNDA BATUARE. Le fameux « brassage » entre les forces armées rebelles et l’armée régulière congolaise, cher à André Flahaut ne sert en réalité que de moyen légal pour détourner une grande partie de l’aide financière envoyée au Congo dans le cadre de la coopération internationale dont l’opacité des transactions exclus toute possibilité de contrôle. Ce budget est principalement utilisé pour payer très confortablement NKUNDA BATUARE et ses miliciens pendant que les militaires congolais de l’armée régulière sont « cassés » psychologiquement dans une série d’humiliation dont la perception d’un solde de misère avec des arriérés allant jusqu’à trois minimum. Mal payés, les soldats congolais sont contraints de vendre les armes et munition qu’ils reçoivent afin de survivre. C’est là, selon le GRISP une ONG expert en analyse de conflits armés, une des principales sources de trafic d’arme dans le Congo RDC, plus précisément à l’EST. C’est la plus redoutable arme de guerre utilisée contre le Congo RDC par le gouvernement belge de Guy VERHOFSTADT.
Armand De Decker, Avec un mépris sans nom, il a publiquement tenu des propos NEGATIONISTES à l’encontre des Martyrs du Bas-Congo du 22-23 mars 2007 exécutés de sang froid à l’arme lourde pour avoir seulement dénoncé la fraude électorale. Il ne s’en est jamais excusé et Monsieur Guy Verhofstadt ne lui en ’a jamais reproché…la corruption institutionnalisée dans tout l’appareil étatique congolais est la seule mission de son ministère qu’il ait réussi.
Pierre Chevalier, sénateur belge, en association criminelle avec monsieur Louis Michel par le biais de l’homme d’affaire Georges Arthur FORREST. Il est pressenti pour représenter la Belgique au sein du conseil de sécurité des Nations-Unies alors qu’il n’est d’une honorabilité irréprochable (annexe V)
Georges Arthur FORREST, A un moment il était à la fois conseiller au Ministère du commerce extérieur sur recommandation de monsieur Louis Michel et de monsieur Pierre Chevalier, consul honoraire de France à Lubumbashi-RDC et Président Directeur de la Gécamines. Aujourd ’hui, il ne fait seulement que piller le Congo avec la bénédiction de Guy VERHOFSTADT, le premier ministre belge.
CHEFS D’ACCUSATION
Crime de génocide du peuple congolais : article 6-a)-b)-c) et 25-3 ;
Bien qu’étant suffisamment et en temps utile informé, Monsieur Guy Verhofstadt n’a jamais fait le nécessaire pour prendre les dispositions légales pour empêcher les massacres des populations civiles congolaises du fait de l’implication des criminels belges opérant au Congo.
Crimes contre l’humanité : article 7-1 c) et 23- 3 b) réduction en esclavage du peuple congolais par le gouvernement belge sous les deux législatures Guy Verhofstadt ; article 7-1 k) Actes inhumains consistant à infliger de grandes souffrances au peuple congolais.
Crimes de Guerre : article 8-2 III) système d’humiliation des militaires congolais vis-à-vis des miliciens du rebelle rwandais Laurent Nkunda Batuare, intentionnellement montée par le Ministre de la défense belge Monsieur André Flahaut afin de détruire toute possibilité d’organisation de l’armée régulière congolaise à terme. Les miliciens du rwandais Nkunda Batuare mieux équipé sont confortablement payés avec le budget national congolais pendant que leurs homologues congolais sont à 80 % impayés avec des arriérés de solde allant jusqu’à trois mois.
Autre élément de preuve en sus :
- Déposition à l’audience des témoins à charge.
- Conclusion d’analyse scientifique.
Monsieur le Procureur,
Eu égards à la gravité de ce qui précède, considérant irréparables les préjudices que je subirais personnellement, par le fait que Monsieur Guy Verhofstadt se soustrait à la justice à l’avantage d’une réélection aux élections législatives belges prévu pour ce 10 juin 2007;
Estimant qu’il est vital de s’assurer que Monsieur Guy Verhofstadt n’use pas de son influence pour faire obstacle à l’enquête ni n’en compromette le déroulement, que ce soit individuellement ou collectivement, et qu’il ne poursuive ou ne fasse poursuivre l’exécution des crimes dont je lui fais grief relevant de la compétence de la cour pénale internationale,
Par la présente requête, je demande la délivrance d’un MANDAT D’ARRET en l’encontre de Monsieur GUY VERHOFSTADT, le Premier Ministre Belge.
Rappelant la doctrine juridique universelle et humanitaire selon laquelle que toute personne ayant la possibilité d’assister une autre personne en danger de mort, commet un crime s’il ne le fait pas,
Réaffirmant ma détermination à honorer la mémoire de plus de 6 MILLIONS des mes frères et sœurs congolais génocidés des faits directs et collatéraux de la politique menée par monsieur Guy VERHOSTADT vis-à-vis du Congo, je refuse de me taire encore moins cautionner ces atrocités.
Aussi, en tant que citoyen du monde d’abord, ensuite citoyen européen d’origine africaine par la République Démocratique du Congo RDC, je saisi de tous mes droits fondamentaux pour demander justice et réparation à votre auguste cour dans l’intérêt de toute l’humanité entière.
Je prie votre honneur de déclarer ma requête fondée en droit et en fait aux termes de l’article 17 du statut de Rome. Vous aurez rendu justice et renforcé davantage la crédibilité de votre cour.
En vous remerciant d’avance pour l’attention particulière que vous accorderez à ma requête, je vous de croire Monsieur le Procureur en mes sentiments distingués. Fasse que grâce votre impartialité et vos actions l’impunité soit réduite à sa plus simple expression.
Fait à Bruxelles, le 23/ Mai/2007 Monsieur MARIYUS NOKO NGELE
Autres pièces jointes :
- Copie de ma lettre remise au Roi des Belges Albert II (annexe VI)
Contact : + 00 32 484 92 67 78 http://fr.f232.mail.yahoo.com/ym/Compose?To=mariyus_be@yahoo.fr http://congogate.over-blog.net/
Appel de l'Evêque de Bukavu au sujet des tueries (RDC)
Le "macabre massacre de Kaniola" en territoire de Walungu (Sud-Kivu), perpétré dans la nuit du 26 au 27 mai et soldé par 29 civils tués à l’arme blanche, constitue l’un des éléments "qui sont apparemment réunis pour une nouvelle guerre au Sud-Kivu" : l’affirmation est contenue dans un message de l’archevêque de Bukavu, Mgr François-Xavier Maroy Rusengo, remis à l’ambassadeur de France, Bernard Prevost, au cours de son passage dans le chef-lieu du Sud-Kivu.
"Il y a un mouvement d’infiltration massive et systématique en provenance du Rwanda par les points frontaliers de la Rivière Ruzizi, d’Uvira, de Nyangezi, de Kaza-Roho à Cahi Bukavu" dit clairement Mgr Rusengo dans sa lettre, dont la MISNA a eu une copie. "Le placement militaire reproduit le même schéma que celui qui a prévalu juste avant le déclenchement de la guerre par le Rcd (Rassemblement congolais pour la démocratie, rébellion soutenue par Kigali, Ndlr) en 1998" poursuit le prélat, faisant noter que tous les commandants militaires de la zone sont issus des rangs de cet ancien mouvement rebelle.
Le massacre de Kaniola (ou Kanyola), dit-il encore, s’est produit "en présence pratiquement du major de l’armée régulière" et rappelle ceux de Kasika (août 1998) et de Makobola (fin décembre 1998), deux des plus dramatiques et nombreux exemples d’atrocités commises dans la région orientale du pays pendant la guerre de 1998-2003. Comme pour les guerres antérieures, insiste l’archevêque, "on a envoyé des militaires au front sans logistique ni ravitaillement suffisants", comme si on voulait "les livrer à l’ennemi".
Mgr Maroy Rusengo condamne le "silence des institutions de la République", estimant que la "table ronde inter-communautaire " proposée par le gouvernement pour affronter la question sécuritaire n’est pas suffisante. "Sous d’autres cieux – lit-on encore dans le message– pour une prise d’otage, même d’une seule personne, l’appareil étatique de son pays se mobilise" mais ce n’est pas le cas au Congo. Rappelant que les provinces orientales ont massivement voté pour Joseph Kabila, élu à la présidence en novembre dernier, l’archevêque de Bukavu appelle le chef de l’État à réagir "avant qu’il ne soit trop tard", et la Monuc (Mission des Nations Unies en République Démocratique du Congo) à "ne pas se dérober de sa tâche" et à "s’engager pour la protection de la population civile".
"Que la communauté internationale ne dise pas qu’elle ne savait pas. Nous la prendrons à témoin" conclut le chef religieux.À l’ouverture de la séance parlementaire de présentation du budget de l’État 2007 ce matin au Palais du peuple de Kinshasa, le premier ministre Antoine Gizenga a demandé aux députés d’observer une minute de silence à la mémoire des victimes de Kaniola. Depuis plusieurs jours, les députés du Nord et Sud-Kivu ont suspendu leurs activités parlementaires pour revendiquer la prise en charge de la situation humanitaire des habitants de leurs régions et des moyens pour restaurer la paix.
La guerre au Congo est voulue et entretenue
Il n’est un secret pour personne que le Congo a depuis toujours fait la convoitise et des ses voisins les plus proches et des nombreuses puissances occidentales qui ont toujours cherche la moindre occasion pour avoir la mainmise sur les richesses fabuleuses dont le sol et sous-sol congolais regorgent.
L’on se rappellera qu’au début de la guerre d’agression dont le Congo est victime depuis plus d’une décennie, ils furent nombreux des congolais avertis, avises et informes qui n’avaient pas hésite de lever le ton pour dénoncer cette guerre injuste dont le Congo est victime.
Ces congolais avaient d’une façon unanime affirme que la situation chaotique qui a élu domicile en RDC est la résultante d’une guerre d’agression qui a été savamment mise en place par des puissances occidentales qui voyaient dans cette agression l’occasion de reconquérir la RDC.
Cette guerre avait pour finalité le pillage systématique et systémique des richesses du Congo et la balkanisation de ce grand et riche que beaucoup ont surnommé le “scandale géologique de la planète.
Aujourd’hui, les choses se précisent et commencent à donner raison à ces congolais qui avaient vu dans cette guerre d’agression les manoeuvres des puissances occidentales de réaliser leur plan machiavélique au Congo qui consistent à dépouiller le Congo de ses richesses.
En effet, au lendemain du génocide rwandais, la présence des rebelles hutus rwandais et celle des rebelles ougandais au Congo avaient fourni aux commanditaires de la guerre d’agression des prétextes pour justifier le déploiement des “coopérative forces” -troupes rwandaises et ougandaises – qui étaient chargées d’exécuter ledit plan en RDC.
"Nous poursuivrons les rebelles de la LRA jusqu`en RDC s`ils lancent des attaques contre une quelconque partie du territoire ougandais, avec ou sans l`approbation des autorités internationales".
"L`Ouganda a le droit de se défendre en vertu du droit international", a averti M. Museveni dans un entretien publié dans le journal progouvernemental Sunday Vision.
Selon les gouvernements du Rwanda et du Burundi, les extrémistes Hutus restent une menace permanente et justifient des interventions déstabilisatrices et souvent meurtrières vivement dénoncées par la RDC. Ces interventions s'inscrivent dans la première guerre du Congo et la deuxième guerre du Congo dans laquelle une dizaine de pays africains se sont impliqués et qui ont coûté la vie d'au moins 4 à 5 millions de Congolais.
Les FDLR, qui regroupent une partie des anciennes forces génocidaires, ont accepté d'être désarmées et de rentrer au Rwanda. Si ce désarmement se confirme le Rwanda n'aura plus de raisons d'intervenir en RDC.
“Plus Jamais, “Never Again”, le Génocide du Rwanda. Tel était le “Selling Point” que le marketing politique de la guerre d’agression au Congo avait trouvé pour vendre l’action macabre que les commanditaires de cette fameuse guerre avaient initiée au Congo.
A l’heure des guerres préventives, la guerre d’agression en RDC était présentée au monde comme une sorte de guerre préventive à l’exemple et à la suite de la guerre en Afghanistan.
Si la guerre en Afghanistan était une guerre préventive contre les attaques terroristes que les ennemis de l’Amérique pouvaient machiner à partir de l’Afghanistan. La guerre au Congo était considérée une guerre préventive contre un autre génocide rwandais que les ennemis du Rwanda pouvaient concocter a partir de la RDC ou ils avaient trouve refuge.
Et, le silence de la communauté internationale et son inertie face a cette flagrante guerre d’agression en RDC étaient perçues comme une sorte d’autorisation “tacite” que la communauté internationale avait accordee au Rwanda et a l’Ouganda (deux pays membres de l’ONU) dans leur action en RDC (un pays membre de l’ONU).
Alors que le monde voyait dans l’intervention du Rwanda et de l’Ouganda en RDC comme une action « salvatrice » visant a empêcher les ennemis du peuple Tutsi de rééditer le spectacle désolant et macabre qui a coûte la vie des 800 000 Tutsis.
Alors que le Rwanda et l’Ouganda prétendaient avoir déployé les troupes à l’est de la RDC pour neutraliser et mettre hors d’état de nuire les éléments armes rwandaises et ougandaises qui cherchaient à déstabiliser leurs nations respectives et rééditer le drame rwandais que nous déplorons tous.
Mais, force est de constater qu’au lieu d’aller aux trousses des fameux éléments armés rwandais et ougandais que l’on a accuse de preparer des attaques contre le Rwanda et l’Ouganda.
Du 14 au 17 août 1999, le monde a assisté avec stupéfaction aux violents combats entre soldats rwandais et ougandais qui s’affrontaient en RDC pour contrôler Kisangani (une région riche en diamants) et au moins 300 personnes avaient trouvé la mort a la suite de ce violent combat.
Du 5 au 10 juin 2000: de nouveaux combats ont eu lieu entre soldats rwandais et ougandais toujours à Kisangani. Il y a plus de 600 morts, essentiellement des civils, et plus de 3.000 blessés.
O Tempora, O Mores ! Quel temps, quelles mœurs ! Deux pays membres de l’ONU violent au su et au vu de tout le monde la souverainete et l’intagibilite du territoire national d’un autre Etat membre de l’ONU. Et, comme si cela ne suffisait pas, ces deux pays vont jusqu'à s’affronter et a tuer des civils innocents qui etaient dans le propre pays. Pas d’action du genre de la guerre du Golf. Tout se passe dans l’indifference totale de la communaute internationale.
L'invasion du Koweït par l’Irak (deux Etats membres de l'ONU) a entraîné l'intervention militaire d'une coalition placée sous l'autorité de l'ONU, et ce renforcement de l'organisation internationale a conduit à lui conférer un droit d'intervention humanitaire, notamment en faveur des Kurdes d'Irak, des Croates et des Bosniaques de l'ex-Yougoslavie, et de la population de la Somalie, ravagée par la guerre civile.
Pourquoi deux poids deux mesures?
Les résultats de nombreuses enquêtes effectuées par les experts de l’ONU, les ONG et des chercheurs indépendants ont démontré a suffisance que le Rwanda et l’Ouganda avaient déployé des troupes au Congo pour des fins purement lucratives. La présence des éléments rwandais armés et ougandais n’était qu’un prétexte fallacieux.
Le FPR est accusé par les opposants et dissidents rwandais, par le groupe d'expert de l'ONU chargé d'étudier cette question, l'ancien ministre congolais Honoré Ngbanda Nzambo d'utiliser la présence d'anciens génocidaires en RDC comme prétexte au pillage de cette région.
La présence des éléments rwandais et ougandais est donc devenu un fonds de commerce que tout le monde exploite aujourd’hui pour opérer en RDC, violer en toute impunité sa souveraineté, l’intangibilité de son territoire et exploiter librement ses richesses.
Manifestement, personne ne veut ôter au Rwanda, à l’Ouganda et leurs compères ce prétexte de la guerre d’agression. Il est plus que clair de nos jours que ce fameux prétexte - la présence des éléments rwandais et ougandais - est même entretenu pour tous les acteurs directement ou indirectement impliques dans la gestion du dossier de la guerre en RDC.
La République démocratique du Congo (RDC), le Rwanda et l'Ouganda ont eu plusieurs rencontres au cours desquelles ils avaient réaffirmé leur engagement à "mettre fin à la menace" que constitue pour les trois Etats la présence de groupes armés dans l'est congolais que l’on appelle forces négatives.
Evoquant la déclaration de Rome, les trois Etats, ainsi que les observateurs présents - Union européenne, Union africaine, Onu, Royaume-Uni et Belgique - "ont convenu également de se servir du processus tripartite pour appuyer les efforts conjoints de la Monluc (Mission de l'Onu en RDC) et de la RDC à désarmer, démobiliser et rapatrier au Rwanda les membres des FDLR".
Mais, force est de constater que depuis onze ans, les FDLR et les rebelles ougandais n’ont jamais été désarmes, démobilises et les membres des FDLR n’ont jamais été rapatries au Rwanda et moins encore les rebelles ougandais.
Malgré la présence massive des forces gouvernementales rwandaises et ougandaises qui ont été déverses en RDC, en dépit de la présence des forces onusiennes (17 000 casques bleus, suréquipes, et avec un budget de 1 milliard de dollars américains par an), il est triste et malheureux de constater que depuis onze ans les fous éléments armes rwandais et ougandais sont toujours en liberté et bien plus, ils sont opérationnels.
Veut-on nous faire croire que les forces négatives sont plus fortes que 17000 casques déploies en RDC Ou plus fortes que les troupes rwandaises et ougandaises réunies?
La vérité est qu’en déployant les troupes rwandaises et ougandaises en RDC, les commanditaires de cette guerre d’agression avaient au autre agenda cache. Ils poursuivaient un autre objectif au Congo et non ce qu’ils ont toujours clame haut et fort: la neutralisation et le démantèlement des forces négatives en RDC.
Si ces forces négatives ont survécu pendant tout ce temps. C’est parce que les troupes rwandaises et ougandaises ont trouve qu’ils n’ont pas intérêt à combattre les éléments armes rwandais et ougandais - forces négatives - en RDC. D’autant plus que leur présence en RDC leur sert d’alibi pour entrer librement Congo et exploiter leurs richesses.
Aujourd’hui, nous avons de bonnes raisons d’affirmer que même les forces onusiennes de paix ont démontre a suffisance qu’ils n’ont pas non plus l’intention de se débarrasser de ces forces dites négatives qui ont élu domicile a l’est due Congo. Car, ce serait scie la branche sur laquelle ces forces onusiennes sont assises en RDC. La Monuc sait qu’elle aussi doit sa survie en RDC a la présence des fameux éléments armes rwandais et ougandais.
Il n’est un secret pour personne que quelques jours avant la fin du mandat de la mission onusienne de paix en RDC – Monuc -, Le Représentant spécial du Secrétaire Generali en RDC, William Lacy Swing, s’était entretenu avec les députés nationaux membres de deux commissions permanentes. A savoir: Défense et sécurité, Relations extérieures.
L'échange avait tourné autour de la nécessité ou non de la poursuite du mandat de la Monuc en RDC.
Curieusement, l’argument d’autorité que William Swing avait brandi pour soutenir l’extension du mandat de la Monuc était, comme il fallait s’y attendre, la présence de 7 à 8.000 éléments armés rwandais et un millier d'Ougandais occupent l'Est de la RDC où ils sèment l'insécurité et provoquent la désolation parmi les populations civiles.
A la suite et a l’exemple des rwandais et ougandais, tout le monde se sert de la présence des éléments armes rwandais et ougandais pour continuer a faire des affaires en RDC.
Personne ne veut mettre fin à la plus grave tragédie que l’humanité n’ait jamais connue depuis la fin de la seconde Guerre Mondiale.
· 5 000 000 de morts depuis 1998 (IRC)
· Plus de 38 000 morts par mois / 1200 morts par jour
· Des centaines de milliers de femmes et enfants violées (HWR)
· 585 000 enfants meurent chaque année des conséquences de la guerre
· 1,4 a 1,6 millions de déplaces du au conflit (NU OCHA)
Les affaires au Congo rapportent trop bien pour les commanditaires de la guerre d’agression. Le Congo est devenu un business tellement juteux, tellement lucratif que personne ne veut abandonner cette proie qui est la RDC.
Le gouvernement d’occupation dirige par Joseph Kabila joue bien son jeu dans sa politique de sape au niveau le plus élevé de la magistrature suprême de la république. Voila les raisons pour lesquelles il a été reconduit à la tête de l’entreprise.
Dans une interview qu’il a accordée au mois d’août 2005 au Journal Le Potentiel, le ministre en charge de la Coopération régionale n’avait pas sa langue en poche sur ce point.
Il disait notamment ce qui suit: « Comment pouvez-vous imaginer qu’après une année de discussions avec les Fdlr, de manière ardue, que l’on ne soit pas en mesure de rapatrier un seul rwandais et qu’ ils déposent les armes. Je pense que la volonté manque chez nous. Il est vrai qu’on ne peut pas dire que Kigali en a. Mais nous qui souffrons de la présence de ces hommes, que faisons-nous ? ».
Le ministre a déploré « la diversité de langages au sein du gouvernement ». Pourquoi ?
A plusieurs reprises, il a reconnu que le Rwanda, l’Ouganda et le Burundi «constituent une menace contre la République démocratique du Congo».
Cependant, il apporte une précision de taille: « Mais la principale menace contre nous-mêmes, c’est nous-mêmes. C’est-à-dire que nous ne faisons pas assez pour sécuriser nos frontières. Comment voulez-vous que l’ Ituri, le Sud-Kivu, le Nord-Kivu et le Nord Katanga restent une zone grise, deux ans après la mise en place d’un gouvernement d’union nationale ? Quelles sont les actions de grande envergure qu’on a entreprises pour consolider nos acquis dans cette zone?
Certes, la menace vient de l’Est, des voisins. Mais la principale menace vient de Kinshasa. De manière consciente ou inconsciente, je ne pense pas que tout le monde joue un rôle positif dans la refondation d’un Etat ».
A Kinshasa, Mbusa Nyamwisi avait déjà lâché ce mot en ce mois d’août pour faire allusion à « des forces d’inertie qui sont dans des positions dominantes» . « Ne pas s’engager est une forme de complicité », avait-il précisé. Il persiste et signe.
Il y a eu l’ultimatum, expiré, du 30 septembre 2005. Dernièrement, en marge de la session de l’Assemblée générale des Nations Unies, la Rdc, l’Ouganda, le Rwanda et le Burundi, sous la direction des Etats-Unis, ont levé l’option d’un désarmement forcé à l’expiration de l ultimatum. Le Conseil de sécurité a même béni cette décision.
Mais à ce jour, aucune action militaire de grande envergure n’est entreprise. Bien plus, la Monuc a interpellé le gouvernement congolais pour qu’il s’assume, l’assurant de son appui logistique comme ce fut le cas dans la province Orientale avec les rebelles ougandais. Silence.
Les militaires des Fardc ne sont pas bien équipés par rapport aux rebelles rwandais qui disposent des armes sophistiquées et seraient bien habillés. Qui leur fournit cette logistique et cet habillement ?
De deux choses, l’une. Ou c’est Kigali qui continue à fabriquer « ses rebelles » pour ne pas épuiser ses arguments et justifier ses menaces, ses pressions et la présence de ses troupes en Rdc. Dans le cas contraire, la complicité vient de Kinshasa où quelques personnalités se font du beurre avec cette présence des Fdlr. Serait-ce cela les « Forces d’inertie » dont fait allusion le ministre Nyamwisi ? Dans ce cas, l’axe «Kigali-Kinshasa» fonctionnerait bien au détriment du peuple congolais et du processus de transition en Rdc. Sinon comment expliquer ce silence de Kinshasa de ne pas dénoncer officiellement ceux qui continuent à soutenir militairement les Fdlr.
Le Cardinal Etsou avait pleinement raison lorsqu’il déclarait que nous n’avons pas vote Joseph Kabila. Il nous a été impose pour satisfaire le désir glouton et prédateur des commanditaires de la guerre d’agression dont le Congo est victime.
La presence des Interhamwe et celle des rebelles ougandais au Congo sont tout simplement des prétextes fallacieux que le Rwanda, l’Ouganda et leurs pères se servent pour leur permettre d’ entrer librement au Congo et executer la mission qui leur a été confiée.
Les ambitions économiques du Rwanda ne se limitent pas à la prédation de richesses facilement accessibles et commercialisables, comme l’or et le diamant. Le sous-sol du Kivu recèle des minerais utilisés dans l’industrie de pointe (électronique, aéronautique, médecine nucléaire), comme le niobium (15 % des réserves mondiales se trouvent en Afrique, dont 80 % au Congo), le tantale, associé au colombium, appelé coltan dans la région (l’Afrique recèle 80 % des réserves mondiales de tantale, dont 80 % au Congo). Ces minerais rares ont pour caractéristique une exceptionnelle résistance au froid et à la chaleur et peuvent être utilisés dans des alliages très ductiles et très résistants. D’après de nombreux témoignages en provenance du Kivu, l’exploitation et la commercialisation de ces minerais sont le monopole des Rwandais, protégés par les militaires, et plusieurs compagnies internationales, dont Kenrow International of Gaithersburg, originaire du Maryland, sont représentées à Kigali.
Selon le Daily Mail de Tanzanie (14 janvier 1999) le vice-président Kagame et le commandant James Kabare - qui fut chef d’état-major par intérim auprès du président Kabila avant de se retourner contre lui - détiendraient des intérêts dans plusieurs compagnies minières (Littlerock Mining Ltd, Tenfields Holdings Limited, Collier Ventures Ltd, Sapora Mining Ltd) et une compagnie d’import-export, Intermarket. Depuis l’éclatement de la première guerre du Congo, qui mena au renversement du maréchal Mobutu, plusieurs sociétés minières ont été citées, pour avoir financé des opérations militaires en échange de contrats avantageux dans l’est de la RDC : l’américaine Barrick Gold Corporation (dont l’un des actionnaires est l’ancien président George Bush), l’australienne Russel Ressources dirigée par l’ancien général israélien David Agmon, l’autrichienne Krall, la canadienne Banro American Ressources.
A ce sujet, Jean-Claude Willame note : « Que ce soit en Ituri, au Kivu ou au Nord-Katanga, il était difficile d’occulter le constat d’une « économie de guerre » alimentée par une demande extérieure de ressources primaires si abondantes au Congo , une économie sur laquelle la communauté internationale voulut parfois fermer pudiquement les yeux. » (J.-C. WILLAME, Les faiseurs de paix au Congo. Gestion d’une crise internationale dans un Etat sous tutelle, Bruxelles,Crip, p.108) Et qui en profitait ? « Sur 85 entreprises listées comme ayant enfreint les dispositions du code de conduite des entreprises multinationales édicté par l’OCDE, se trouvent quatre grandes banques (dont trois belges), dix-sept « juniors miniers » américains, canadiens, belges ou britanniques, un important groupe miner belge, onze entreprises diamantaires belges, ainsi que plusieurs dizaines de sociétés peu connues établies en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie. » (Ibidem)
Au regard de ce qui précède, le peuple congolais doit se prendre en charge. Il doit utiliser tous les moyens nécessaires pour défendre son pays, ses richesses, ses terres, sa souveraineté, et la population a la merci des bandits en cravate.
Dans sa lutte pour recouvrer sa liberté et sa dignité, le peuple congolais doit cesser de placer son espoir sur la Monuc (qui poursuit en RDC les mêmes objectifs que le Rwanda et l’Ouganda), le peuple congolais doit cesser de compter sur le parlement dirige par Vital Kamerhe (Joseph Kabila bis), ni sur le gouvernement d’occupation dirige par le collabo Gizenga (qui cautionne le pillage et la balkanisation du Congo), ni sur le Sénat dirige par Kengo (un ancien allie des puissances occidentales).
“On peut tromper tout le peuple une partie du temps, une partie du peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps “, disait Abraham LINCOLN.
«Dès lors qu’un individu prend conscience que les lois qui régissent sa société sont injustes et arbitraires, il a le devoir de se révolter et de les combattre. » (Mahatma GHANDI)
CONSCIENCE CONGOLAISE
KE’ LAMPAM
L’on se rappellera qu’au début de la guerre d’agression dont le Congo est victime depuis plus d’une décennie, ils furent nombreux des congolais avertis, avises et informes qui n’avaient pas hésite de lever le ton pour dénoncer cette guerre injuste dont le Congo est victime.
Ces congolais avaient d’une façon unanime affirme que la situation chaotique qui a élu domicile en RDC est la résultante d’une guerre d’agression qui a été savamment mise en place par des puissances occidentales qui voyaient dans cette agression l’occasion de reconquérir la RDC.
Cette guerre avait pour finalité le pillage systématique et systémique des richesses du Congo et la balkanisation de ce grand et riche que beaucoup ont surnommé le “scandale géologique de la planète.
Aujourd’hui, les choses se précisent et commencent à donner raison à ces congolais qui avaient vu dans cette guerre d’agression les manoeuvres des puissances occidentales de réaliser leur plan machiavélique au Congo qui consistent à dépouiller le Congo de ses richesses.
En effet, au lendemain du génocide rwandais, la présence des rebelles hutus rwandais et celle des rebelles ougandais au Congo avaient fourni aux commanditaires de la guerre d’agression des prétextes pour justifier le déploiement des “coopérative forces” -troupes rwandaises et ougandaises – qui étaient chargées d’exécuter ledit plan en RDC.
"Nous poursuivrons les rebelles de la LRA jusqu`en RDC s`ils lancent des attaques contre une quelconque partie du territoire ougandais, avec ou sans l`approbation des autorités internationales".
"L`Ouganda a le droit de se défendre en vertu du droit international", a averti M. Museveni dans un entretien publié dans le journal progouvernemental Sunday Vision.
Selon les gouvernements du Rwanda et du Burundi, les extrémistes Hutus restent une menace permanente et justifient des interventions déstabilisatrices et souvent meurtrières vivement dénoncées par la RDC. Ces interventions s'inscrivent dans la première guerre du Congo et la deuxième guerre du Congo dans laquelle une dizaine de pays africains se sont impliqués et qui ont coûté la vie d'au moins 4 à 5 millions de Congolais.
Les FDLR, qui regroupent une partie des anciennes forces génocidaires, ont accepté d'être désarmées et de rentrer au Rwanda. Si ce désarmement se confirme le Rwanda n'aura plus de raisons d'intervenir en RDC.
“Plus Jamais, “Never Again”, le Génocide du Rwanda. Tel était le “Selling Point” que le marketing politique de la guerre d’agression au Congo avait trouvé pour vendre l’action macabre que les commanditaires de cette fameuse guerre avaient initiée au Congo.
A l’heure des guerres préventives, la guerre d’agression en RDC était présentée au monde comme une sorte de guerre préventive à l’exemple et à la suite de la guerre en Afghanistan.
Si la guerre en Afghanistan était une guerre préventive contre les attaques terroristes que les ennemis de l’Amérique pouvaient machiner à partir de l’Afghanistan. La guerre au Congo était considérée une guerre préventive contre un autre génocide rwandais que les ennemis du Rwanda pouvaient concocter a partir de la RDC ou ils avaient trouve refuge.
Et, le silence de la communauté internationale et son inertie face a cette flagrante guerre d’agression en RDC étaient perçues comme une sorte d’autorisation “tacite” que la communauté internationale avait accordee au Rwanda et a l’Ouganda (deux pays membres de l’ONU) dans leur action en RDC (un pays membre de l’ONU).
Alors que le monde voyait dans l’intervention du Rwanda et de l’Ouganda en RDC comme une action « salvatrice » visant a empêcher les ennemis du peuple Tutsi de rééditer le spectacle désolant et macabre qui a coûte la vie des 800 000 Tutsis.
Alors que le Rwanda et l’Ouganda prétendaient avoir déployé les troupes à l’est de la RDC pour neutraliser et mettre hors d’état de nuire les éléments armes rwandaises et ougandaises qui cherchaient à déstabiliser leurs nations respectives et rééditer le drame rwandais que nous déplorons tous.
Mais, force est de constater qu’au lieu d’aller aux trousses des fameux éléments armés rwandais et ougandais que l’on a accuse de preparer des attaques contre le Rwanda et l’Ouganda.
Du 14 au 17 août 1999, le monde a assisté avec stupéfaction aux violents combats entre soldats rwandais et ougandais qui s’affrontaient en RDC pour contrôler Kisangani (une région riche en diamants) et au moins 300 personnes avaient trouvé la mort a la suite de ce violent combat.
Du 5 au 10 juin 2000: de nouveaux combats ont eu lieu entre soldats rwandais et ougandais toujours à Kisangani. Il y a plus de 600 morts, essentiellement des civils, et plus de 3.000 blessés.
O Tempora, O Mores ! Quel temps, quelles mœurs ! Deux pays membres de l’ONU violent au su et au vu de tout le monde la souverainete et l’intagibilite du territoire national d’un autre Etat membre de l’ONU. Et, comme si cela ne suffisait pas, ces deux pays vont jusqu'à s’affronter et a tuer des civils innocents qui etaient dans le propre pays. Pas d’action du genre de la guerre du Golf. Tout se passe dans l’indifference totale de la communaute internationale.
L'invasion du Koweït par l’Irak (deux Etats membres de l'ONU) a entraîné l'intervention militaire d'une coalition placée sous l'autorité de l'ONU, et ce renforcement de l'organisation internationale a conduit à lui conférer un droit d'intervention humanitaire, notamment en faveur des Kurdes d'Irak, des Croates et des Bosniaques de l'ex-Yougoslavie, et de la population de la Somalie, ravagée par la guerre civile.
Pourquoi deux poids deux mesures?
Les résultats de nombreuses enquêtes effectuées par les experts de l’ONU, les ONG et des chercheurs indépendants ont démontré a suffisance que le Rwanda et l’Ouganda avaient déployé des troupes au Congo pour des fins purement lucratives. La présence des éléments rwandais armés et ougandais n’était qu’un prétexte fallacieux.
Le FPR est accusé par les opposants et dissidents rwandais, par le groupe d'expert de l'ONU chargé d'étudier cette question, l'ancien ministre congolais Honoré Ngbanda Nzambo d'utiliser la présence d'anciens génocidaires en RDC comme prétexte au pillage de cette région.
La présence des éléments rwandais et ougandais est donc devenu un fonds de commerce que tout le monde exploite aujourd’hui pour opérer en RDC, violer en toute impunité sa souveraineté, l’intangibilité de son territoire et exploiter librement ses richesses.
Manifestement, personne ne veut ôter au Rwanda, à l’Ouganda et leurs compères ce prétexte de la guerre d’agression. Il est plus que clair de nos jours que ce fameux prétexte - la présence des éléments rwandais et ougandais - est même entretenu pour tous les acteurs directement ou indirectement impliques dans la gestion du dossier de la guerre en RDC.
La République démocratique du Congo (RDC), le Rwanda et l'Ouganda ont eu plusieurs rencontres au cours desquelles ils avaient réaffirmé leur engagement à "mettre fin à la menace" que constitue pour les trois Etats la présence de groupes armés dans l'est congolais que l’on appelle forces négatives.
Evoquant la déclaration de Rome, les trois Etats, ainsi que les observateurs présents - Union européenne, Union africaine, Onu, Royaume-Uni et Belgique - "ont convenu également de se servir du processus tripartite pour appuyer les efforts conjoints de la Monluc (Mission de l'Onu en RDC) et de la RDC à désarmer, démobiliser et rapatrier au Rwanda les membres des FDLR".
Mais, force est de constater que depuis onze ans, les FDLR et les rebelles ougandais n’ont jamais été désarmes, démobilises et les membres des FDLR n’ont jamais été rapatries au Rwanda et moins encore les rebelles ougandais.
Malgré la présence massive des forces gouvernementales rwandaises et ougandaises qui ont été déverses en RDC, en dépit de la présence des forces onusiennes (17 000 casques bleus, suréquipes, et avec un budget de 1 milliard de dollars américains par an), il est triste et malheureux de constater que depuis onze ans les fous éléments armes rwandais et ougandais sont toujours en liberté et bien plus, ils sont opérationnels.
Veut-on nous faire croire que les forces négatives sont plus fortes que 17000 casques déploies en RDC Ou plus fortes que les troupes rwandaises et ougandaises réunies?
La vérité est qu’en déployant les troupes rwandaises et ougandaises en RDC, les commanditaires de cette guerre d’agression avaient au autre agenda cache. Ils poursuivaient un autre objectif au Congo et non ce qu’ils ont toujours clame haut et fort: la neutralisation et le démantèlement des forces négatives en RDC.
Si ces forces négatives ont survécu pendant tout ce temps. C’est parce que les troupes rwandaises et ougandaises ont trouve qu’ils n’ont pas intérêt à combattre les éléments armes rwandais et ougandais - forces négatives - en RDC. D’autant plus que leur présence en RDC leur sert d’alibi pour entrer librement Congo et exploiter leurs richesses.
Aujourd’hui, nous avons de bonnes raisons d’affirmer que même les forces onusiennes de paix ont démontre a suffisance qu’ils n’ont pas non plus l’intention de se débarrasser de ces forces dites négatives qui ont élu domicile a l’est due Congo. Car, ce serait scie la branche sur laquelle ces forces onusiennes sont assises en RDC. La Monuc sait qu’elle aussi doit sa survie en RDC a la présence des fameux éléments armes rwandais et ougandais.
Il n’est un secret pour personne que quelques jours avant la fin du mandat de la mission onusienne de paix en RDC – Monuc -, Le Représentant spécial du Secrétaire Generali en RDC, William Lacy Swing, s’était entretenu avec les députés nationaux membres de deux commissions permanentes. A savoir: Défense et sécurité, Relations extérieures.
L'échange avait tourné autour de la nécessité ou non de la poursuite du mandat de la Monuc en RDC.
Curieusement, l’argument d’autorité que William Swing avait brandi pour soutenir l’extension du mandat de la Monuc était, comme il fallait s’y attendre, la présence de 7 à 8.000 éléments armés rwandais et un millier d'Ougandais occupent l'Est de la RDC où ils sèment l'insécurité et provoquent la désolation parmi les populations civiles.
A la suite et a l’exemple des rwandais et ougandais, tout le monde se sert de la présence des éléments armes rwandais et ougandais pour continuer a faire des affaires en RDC.
Personne ne veut mettre fin à la plus grave tragédie que l’humanité n’ait jamais connue depuis la fin de la seconde Guerre Mondiale.
· 5 000 000 de morts depuis 1998 (IRC)
· Plus de 38 000 morts par mois / 1200 morts par jour
· Des centaines de milliers de femmes et enfants violées (HWR)
· 585 000 enfants meurent chaque année des conséquences de la guerre
· 1,4 a 1,6 millions de déplaces du au conflit (NU OCHA)
Les affaires au Congo rapportent trop bien pour les commanditaires de la guerre d’agression. Le Congo est devenu un business tellement juteux, tellement lucratif que personne ne veut abandonner cette proie qui est la RDC.
Le gouvernement d’occupation dirige par Joseph Kabila joue bien son jeu dans sa politique de sape au niveau le plus élevé de la magistrature suprême de la république. Voila les raisons pour lesquelles il a été reconduit à la tête de l’entreprise.
Dans une interview qu’il a accordée au mois d’août 2005 au Journal Le Potentiel, le ministre en charge de la Coopération régionale n’avait pas sa langue en poche sur ce point.
Il disait notamment ce qui suit: « Comment pouvez-vous imaginer qu’après une année de discussions avec les Fdlr, de manière ardue, que l’on ne soit pas en mesure de rapatrier un seul rwandais et qu’ ils déposent les armes. Je pense que la volonté manque chez nous. Il est vrai qu’on ne peut pas dire que Kigali en a. Mais nous qui souffrons de la présence de ces hommes, que faisons-nous ? ».
Le ministre a déploré « la diversité de langages au sein du gouvernement ». Pourquoi ?
A plusieurs reprises, il a reconnu que le Rwanda, l’Ouganda et le Burundi «constituent une menace contre la République démocratique du Congo».
Cependant, il apporte une précision de taille: « Mais la principale menace contre nous-mêmes, c’est nous-mêmes. C’est-à-dire que nous ne faisons pas assez pour sécuriser nos frontières. Comment voulez-vous que l’ Ituri, le Sud-Kivu, le Nord-Kivu et le Nord Katanga restent une zone grise, deux ans après la mise en place d’un gouvernement d’union nationale ? Quelles sont les actions de grande envergure qu’on a entreprises pour consolider nos acquis dans cette zone?
Certes, la menace vient de l’Est, des voisins. Mais la principale menace vient de Kinshasa. De manière consciente ou inconsciente, je ne pense pas que tout le monde joue un rôle positif dans la refondation d’un Etat ».
A Kinshasa, Mbusa Nyamwisi avait déjà lâché ce mot en ce mois d’août pour faire allusion à « des forces d’inertie qui sont dans des positions dominantes» . « Ne pas s’engager est une forme de complicité », avait-il précisé. Il persiste et signe.
Il y a eu l’ultimatum, expiré, du 30 septembre 2005. Dernièrement, en marge de la session de l’Assemblée générale des Nations Unies, la Rdc, l’Ouganda, le Rwanda et le Burundi, sous la direction des Etats-Unis, ont levé l’option d’un désarmement forcé à l’expiration de l ultimatum. Le Conseil de sécurité a même béni cette décision.
Mais à ce jour, aucune action militaire de grande envergure n’est entreprise. Bien plus, la Monuc a interpellé le gouvernement congolais pour qu’il s’assume, l’assurant de son appui logistique comme ce fut le cas dans la province Orientale avec les rebelles ougandais. Silence.
Les militaires des Fardc ne sont pas bien équipés par rapport aux rebelles rwandais qui disposent des armes sophistiquées et seraient bien habillés. Qui leur fournit cette logistique et cet habillement ?
De deux choses, l’une. Ou c’est Kigali qui continue à fabriquer « ses rebelles » pour ne pas épuiser ses arguments et justifier ses menaces, ses pressions et la présence de ses troupes en Rdc. Dans le cas contraire, la complicité vient de Kinshasa où quelques personnalités se font du beurre avec cette présence des Fdlr. Serait-ce cela les « Forces d’inertie » dont fait allusion le ministre Nyamwisi ? Dans ce cas, l’axe «Kigali-Kinshasa» fonctionnerait bien au détriment du peuple congolais et du processus de transition en Rdc. Sinon comment expliquer ce silence de Kinshasa de ne pas dénoncer officiellement ceux qui continuent à soutenir militairement les Fdlr.
Le Cardinal Etsou avait pleinement raison lorsqu’il déclarait que nous n’avons pas vote Joseph Kabila. Il nous a été impose pour satisfaire le désir glouton et prédateur des commanditaires de la guerre d’agression dont le Congo est victime.
La presence des Interhamwe et celle des rebelles ougandais au Congo sont tout simplement des prétextes fallacieux que le Rwanda, l’Ouganda et leurs pères se servent pour leur permettre d’ entrer librement au Congo et executer la mission qui leur a été confiée.
Les ambitions économiques du Rwanda ne se limitent pas à la prédation de richesses facilement accessibles et commercialisables, comme l’or et le diamant. Le sous-sol du Kivu recèle des minerais utilisés dans l’industrie de pointe (électronique, aéronautique, médecine nucléaire), comme le niobium (15 % des réserves mondiales se trouvent en Afrique, dont 80 % au Congo), le tantale, associé au colombium, appelé coltan dans la région (l’Afrique recèle 80 % des réserves mondiales de tantale, dont 80 % au Congo). Ces minerais rares ont pour caractéristique une exceptionnelle résistance au froid et à la chaleur et peuvent être utilisés dans des alliages très ductiles et très résistants. D’après de nombreux témoignages en provenance du Kivu, l’exploitation et la commercialisation de ces minerais sont le monopole des Rwandais, protégés par les militaires, et plusieurs compagnies internationales, dont Kenrow International of Gaithersburg, originaire du Maryland, sont représentées à Kigali.
Selon le Daily Mail de Tanzanie (14 janvier 1999) le vice-président Kagame et le commandant James Kabare - qui fut chef d’état-major par intérim auprès du président Kabila avant de se retourner contre lui - détiendraient des intérêts dans plusieurs compagnies minières (Littlerock Mining Ltd, Tenfields Holdings Limited, Collier Ventures Ltd, Sapora Mining Ltd) et une compagnie d’import-export, Intermarket. Depuis l’éclatement de la première guerre du Congo, qui mena au renversement du maréchal Mobutu, plusieurs sociétés minières ont été citées, pour avoir financé des opérations militaires en échange de contrats avantageux dans l’est de la RDC : l’américaine Barrick Gold Corporation (dont l’un des actionnaires est l’ancien président George Bush), l’australienne Russel Ressources dirigée par l’ancien général israélien David Agmon, l’autrichienne Krall, la canadienne Banro American Ressources.
A ce sujet, Jean-Claude Willame note : « Que ce soit en Ituri, au Kivu ou au Nord-Katanga, il était difficile d’occulter le constat d’une « économie de guerre » alimentée par une demande extérieure de ressources primaires si abondantes au Congo , une économie sur laquelle la communauté internationale voulut parfois fermer pudiquement les yeux. » (J.-C. WILLAME, Les faiseurs de paix au Congo. Gestion d’une crise internationale dans un Etat sous tutelle, Bruxelles,Crip, p.108) Et qui en profitait ? « Sur 85 entreprises listées comme ayant enfreint les dispositions du code de conduite des entreprises multinationales édicté par l’OCDE, se trouvent quatre grandes banques (dont trois belges), dix-sept « juniors miniers » américains, canadiens, belges ou britanniques, un important groupe miner belge, onze entreprises diamantaires belges, ainsi que plusieurs dizaines de sociétés peu connues établies en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie. » (Ibidem)
Au regard de ce qui précède, le peuple congolais doit se prendre en charge. Il doit utiliser tous les moyens nécessaires pour défendre son pays, ses richesses, ses terres, sa souveraineté, et la population a la merci des bandits en cravate.
Dans sa lutte pour recouvrer sa liberté et sa dignité, le peuple congolais doit cesser de placer son espoir sur la Monuc (qui poursuit en RDC les mêmes objectifs que le Rwanda et l’Ouganda), le peuple congolais doit cesser de compter sur le parlement dirige par Vital Kamerhe (Joseph Kabila bis), ni sur le gouvernement d’occupation dirige par le collabo Gizenga (qui cautionne le pillage et la balkanisation du Congo), ni sur le Sénat dirige par Kengo (un ancien allie des puissances occidentales).
“On peut tromper tout le peuple une partie du temps, une partie du peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps “, disait Abraham LINCOLN.
«Dès lors qu’un individu prend conscience que les lois qui régissent sa société sont injustes et arbitraires, il a le devoir de se révolter et de les combattre. » (Mahatma GHANDI)
CONSCIENCE CONGOLAISE
KE’ LAMPAM
Inscription à :
Articles (Atom)