Le Courage n´est pas à confondre avec la Témérité, Collette Tshomba vient d´en avoir pour son compte à Paris où, elle s´est permise de lancer un défi à la Communauté congolaise de France.
Nos sources de Paris viennent, il y a à peine quelques instants, de nous annoncer par une dépêche, le passage à tabac de Mme Collette Tshomba, soi-disant Vice-ministre de la Diaspora congolaise du semblant de Gouvernement fantoche de Kinshasa dirigé par M. Antoine Gizenga.
Nos sources de Paris viennent, il y a à peine quelques instants, de nous annoncer par une dépêche, le passage à tabac de Mme Collette Tshomba, soi-disant Vice-ministre de la Diaspora congolaise du semblant de Gouvernement fantoche de Kinshasa dirigé par M. Antoine Gizenga.
En effet, celle-ci est à Paris depuis quelques temps, comme émissaire de son président rwandais, - désormais qualifié par la Mission des Nations Unies au Congo (MONUC) de <<>> plutôt que de Joseph Kabila, de par son pseudonyme politique au Congo - dans le but d´organiser d´humiliantes féstivités d´indépendance dans la capitale francaise. Et ceci, malgré l´interdiction de séjour imposée aux dirigeants de Kinshasa qui participent à la destruction et à la vente du pays aux étrangers. Interdiction décretée par la Diaspora congolaise qui ne veut rien entendre des ces indésirables politiciens (politiciennnes) d´opérette, corrompus et traîtres, n´ayant aucun sens de patriotisme ni d´honneur.
Téméraire et hautaine de nature semble-t-il, et en plus, trompée par quelques méndiants de Paris, Collette Tshomba a voulu jouer à la Brave et à la Dame de Fer du régime fantoche de Kinshasa, en bravant cette interdiction, défiant ainsi la Diaspora congolaise qui s´est vue bléssée dans son Amour Propre. Au fait, Elle a organisé à Paris avec l´argent volé au contribuable congolais, qui pourtant croupi dans la misère la plus noire, une sorte de kermesse, conférence avec un match de football prévu pour la clôture de l´événèment. Mais comme pouvait s´y attendre pour tout observateur congolais averti, cela a tourné au vinaigre pour celle-ci.
Téméraire et hautaine de nature semble-t-il, et en plus, trompée par quelques méndiants de Paris, Collette Tshomba a voulu jouer à la Brave et à la Dame de Fer du régime fantoche de Kinshasa, en bravant cette interdiction, défiant ainsi la Diaspora congolaise qui s´est vue bléssée dans son Amour Propre. Au fait, Elle a organisé à Paris avec l´argent volé au contribuable congolais, qui pourtant croupi dans la misère la plus noire, une sorte de kermesse, conférence avec un match de football prévu pour la clôture de l´événèment. Mais comme pouvait s´y attendre pour tout observateur congolais averti, cela a tourné au vinaigre pour celle-ci.
En fait, autour de 17 heures et démie, alors que cette dernière était invitée à prendre la parole à la tribune, elle n´a eu à peine que cinq petites minutes à s´exprimer, avant qu´une pluie de chaises ne s´abatte sur elles et sur ceux qui assistaient dans sa petite pièce de théâtre. C´était la débandade totale dans la salle qui servait de cadre à la rencontre, chacun cherchait une issue de secours pour s´échapper du lieu, transformé pour eux et contre toute attende, à un piège. La police francaise CRS, alertée fit sa déscente sur le lieu quelques temps plus tard, alors que le dégât était déjà fait. La voiture de la fameuse madame le ministre a été complètement défoncée, avant d´être incendiée par les Congolais en colère.
D´après les Congolais trouvés sur place et bien décidés en découdre avec cette Traîtresse, rien que ce traitement n´était capable d´expier ses forfaits. C´est-à-dire le prix à payer pour ses multiples provocations de ces derniers temps à l´encontre de la Diaspora. Elle était déjà là le mois dernier à Bruxelles avant les élections parlementaires belges. Et en dépit du rappel qui lui avait été fait par les Patriotes de la diaspora, de ne plus oser se présenter à eux en cette qualité là, elle a plutôt choisi de faire la sourde d´oreilles, et de continuer à défier ceux qui aiment et sont prêts à tout pour la défense de notre cher Congo. Voilà que: <<>> comme le disait si éloquemment, le très regretté et excellent journaliste de la Radio-télevision zaïroise (OZRT) de la belle époque, feu Ekamba Eoleka, dit Likambo na Moto Té.
Histoire à suivre!
Le Patriote, Pépin Lulendo
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