mercredi 30 mai 2007

La guerre au Congo est voulue et entretenue

Il n’est un secret pour personne que le Congo a depuis toujours fait la convoitise et des ses voisins les plus proches et des nombreuses puissances occidentales qui ont toujours cherche la moindre occasion pour avoir la mainmise sur les richesses fabuleuses dont le sol et sous-sol congolais regorgent.


L’on se rappellera qu’au début de la guerre d’agression dont le Congo est victime depuis plus d’une décennie, ils furent nombreux des congolais avertis, avises et informes qui n’avaient pas hésite de lever le ton pour dénoncer cette guerre injuste dont le Congo est victime.


Ces congolais avaient d’une façon unanime affirme que la situation chaotique qui a élu domicile en RDC est la résultante d’une guerre d’agression qui a été savamment mise en place par des puissances occidentales qui voyaient dans cette agression l’occasion de reconquérir la RDC.


Cette guerre avait pour finalité le pillage systématique et systémique des richesses du Congo et la balkanisation de ce grand et riche que beaucoup ont surnommé le “scandale géologique de la planète.


Aujourd’hui, les choses se précisent et commencent à donner raison à ces congolais qui avaient vu dans cette guerre d’agression les manoeuvres des puissances occidentales de réaliser leur plan machiavélique au Congo qui consistent à dépouiller le Congo de ses richesses.


En effet, au lendemain du génocide rwandais, la présence des rebelles hutus rwandais et celle des rebelles ougandais au Congo avaient fourni aux commanditaires de la guerre d’agression des prétextes pour justifier le déploiement des “coopérative forces” -troupes rwandaises et ougandaises – qui étaient chargées d’exécuter ledit plan en RDC.



"Nous poursuivrons les rebelles de la LRA jusqu`en RDC s`ils lancent des attaques contre une quelconque partie du territoire ougandais, avec ou sans l`approbation des autorités internationales".

"L`Ouganda a le droit de se défendre en vertu du droit international", a averti M. Museveni dans un entretien publié dans le journal progouvernemental Sunday Vision.


Selon les gouvernements du Rwanda et du Burundi, les extrémistes Hutus restent une menace permanente et justifient des interventions déstabilisatrices et souvent meurtrières vivement dénoncées par la RDC. Ces interventions s'inscrivent dans la
première guerre du Congo et la deuxième guerre du Congo dans laquelle une dizaine de pays africains se sont impliqués et qui ont coûté la vie d'au moins 4 à 5 millions de Congolais.
Les
FDLR, qui regroupent une partie des anciennes forces génocidaires, ont accepté d'être désarmées et de rentrer au Rwanda. Si ce désarmement se confirme le Rwanda n'aura plus de raisons d'intervenir en RDC.


“Plus Jamais, “Never Again”, le Génocide du Rwanda. Tel était le “Selling Point” que le marketing politique de la guerre d’agression au Congo avait trouvé pour vendre l’action macabre que les commanditaires de cette fameuse guerre avaient initiée au Congo.


A l’heure des guerres préventives, la guerre d’agression en RDC était présentée au monde comme une sorte de guerre préventive à l’exemple et à la suite de la guerre en Afghanistan.


Si la guerre en Afghanistan était une guerre préventive contre les attaques terroristes que les ennemis de l’Amérique pouvaient machiner à partir de l’Afghanistan. La guerre au Congo était considérée une guerre préventive contre un autre génocide rwandais que les ennemis du Rwanda pouvaient concocter a partir de la RDC ou ils avaient trouve refuge.


Et, le silence de la communauté internationale et son inertie face a cette flagrante guerre d’agression en RDC étaient perçues comme une sorte d’autorisation “tacite” que la communauté internationale avait accordee au Rwanda et a l’Ouganda (deux pays membres de l’ONU) dans leur action en RDC (un pays membre de l’ONU).


Alors que le monde voyait dans l’intervention du Rwanda et de l’Ouganda en RDC comme une action « salvatrice » visant a empêcher les ennemis du peuple Tutsi de rééditer le spectacle désolant et macabre qui a coûte la vie des 800 000 Tutsis.


Alors que le Rwanda et l’Ouganda prétendaient avoir déployé les troupes à l’est de la RDC pour neutraliser et mettre hors d’état de nuire les éléments armes rwandaises et ougandaises qui cherchaient à déstabiliser leurs nations respectives et rééditer le drame rwandais que nous déplorons tous.


Mais, force est de constater qu’au lieu d’aller aux trousses des fameux éléments armés rwandais et ougandais que l’on a accuse de preparer des attaques contre le Rwanda et l’Ouganda.


Du 14 au 17 août 1999, le monde a assisté avec stupéfaction aux violents combats entre soldats rwandais et ougandais qui s’affrontaient en RDC pour contrôler Kisangani (une région riche en diamants) et au moins 300 personnes avaient trouvé la mort a la suite de ce violent combat.


Du 5 au 10 juin 2000: de nouveaux combats ont eu lieu entre soldats rwandais et ougandais toujours à Kisangani. Il y a plus de 600 morts, essentiellement des civils, et plus de 3.000 blessés.

O Tempora, O Mores ! Quel temps, quelles mœurs ! Deux pays membres de l’ONU violent au su et au vu de tout le monde la souverainete et l’intagibilite du territoire national d’un autre Etat membre de l’ONU. Et, comme si cela ne suffisait pas, ces deux pays vont jusqu'à s’affronter et a tuer des civils innocents qui etaient dans le propre pays. Pas d’action du genre de la guerre du Golf. Tout se passe dans l’indifference totale de la communaute internationale.


L'invasion du Koweït par l’
Irak (deux Etats membres de l'ONU) a entraîné l'intervention militaire d'une coalition placée sous l'autorité de l'ONU, et ce renforcement de l'organisation internationale a conduit à lui conférer un droit d'intervention humanitaire, notamment en faveur des Kurdes d'Irak, des Croates et des Bosniaques de l'ex-Yougoslavie, et de la population de la Somalie, ravagée par la guerre civile.

Pourquoi deux poids deux mesures?



Les résultats de nombreuses enquêtes effectuées par les experts de l’ONU, les ONG et des chercheurs indépendants ont démontré a suffisance que le Rwanda et l’Ouganda avaient déployé des troupes au Congo pour des fins purement lucratives. La présence des éléments rwandais armés et ougandais n’était qu’un prétexte fallacieux.


Le FPR est accusé par les opposants et dissidents rwandais, par le groupe d'expert de l'ONU chargé d'étudier cette question, l'ancien ministre congolais
Honoré Ngbanda Nzambo d'utiliser la présence d'anciens génocidaires en RDC comme prétexte au pillage de cette région.


La présence des éléments rwandais et ougandais est donc devenu un fonds de commerce que tout le monde exploite aujourd’hui pour opérer en RDC, violer en toute impunité sa souveraineté, l’intangibilité de son territoire et exploiter librement ses richesses.


Manifestement, personne ne veut ôter au Rwanda, à l’Ouganda et leurs compères ce prétexte de la guerre d’agression. Il est plus que clair de nos jours que ce fameux prétexte - la présence des éléments rwandais et ougandais - est même entretenu pour tous les acteurs directement ou indirectement impliques dans la gestion du dossier de la guerre en RDC.


La République démocratique du Congo (RDC), le Rwanda et l'Ouganda ont eu plusieurs rencontres au cours desquelles ils avaient réaffirmé leur engagement à "mettre fin à la menace" que constitue pour les trois Etats la présence de groupes armés dans l'est congolais que l’on appelle forces négatives.


Evoquant la déclaration de Rome, les trois Etats, ainsi que les observateurs présents - Union européenne, Union africaine, Onu, Royaume-Uni et Belgique - "ont convenu également de se servir du processus tripartite pour appuyer les efforts conjoints de la Monluc (Mission de l'Onu en RDC) et de la RDC à désarmer, démobiliser et rapatrier au Rwanda les membres des FDLR".


Mais, force est de constater que depuis onze ans, les FDLR et les rebelles ougandais n’ont jamais été désarmes, démobilises et les membres des FDLR n’ont jamais été rapatries au Rwanda et moins encore les rebelles ougandais.


Malgré la présence massive des forces gouvernementales rwandaises et ougandaises qui ont été déverses en RDC, en dépit de la présence des forces onusiennes (17 000 casques bleus, suréquipes, et avec un budget de 1 milliard de dollars américains par an), il est triste et malheureux de constater que depuis onze ans les fous éléments armes rwandais et ougandais sont toujours en liberté et bien plus, ils sont opérationnels.


Veut-on nous faire croire que les forces négatives sont plus fortes que 17000 casques déploies en RDC Ou plus fortes que les troupes rwandaises et ougandaises réunies?


La vérité est qu’en déployant les troupes rwandaises et ougandaises en RDC, les commanditaires de cette guerre d’agression avaient au autre agenda cache. Ils poursuivaient un autre objectif au Congo et non ce qu’ils ont toujours clame haut et fort: la neutralisation et le démantèlement des forces négatives en RDC.


Si ces forces négatives ont survécu pendant tout ce temps. C’est parce que les troupes rwandaises et ougandaises ont trouve qu’ils n’ont pas intérêt à combattre les éléments armes rwandais et ougandais - forces négatives - en RDC. D’autant plus que leur présence en RDC leur sert d’alibi pour entrer librement Congo et exploiter leurs richesses.


Aujourd’hui, nous avons de bonnes raisons d’affirmer que même les forces onusiennes de paix ont démontre a suffisance qu’ils n’ont pas non plus l’intention de se débarrasser de ces forces dites négatives qui ont élu domicile a l’est due Congo. Car, ce serait scie la branche sur laquelle ces forces onusiennes sont assises en RDC. La Monuc sait qu’elle aussi doit sa survie en RDC a la présence des fameux éléments armes rwandais et ougandais.


Il n’est un secret pour personne que quelques jours avant la fin du mandat de la mission onusienne de paix en RDC – Monuc -, Le Représentant spécial du Secrétaire Generali en RDC, William Lacy Swing, s’était entretenu avec les députés nationaux membres de deux commissions permanentes. A savoir: Défense et sécurité, Relations extérieures.


L'échange avait tourné autour de la nécessité ou non de la poursuite du mandat de la Monuc en RDC.


Curieusement, l’argument d’autorité que William Swing avait brandi pour soutenir l’extension du mandat de la Monuc était, comme il fallait s’y attendre, la présence de 7 à 8.000 éléments armés rwandais et un millier d'Ougandais occupent l'Est de la RDC où ils sèment l'insécurité et provoquent la désolation parmi les populations civiles.


A la suite et a l’exemple des rwandais et ougandais, tout le monde se sert de la présence des éléments armes rwandais et ougandais pour continuer a faire des affaires en RDC.



Personne ne veut mettre fin à la plus grave tragédie que l’humanité n’ait jamais connue depuis la fin de la seconde Guerre Mondiale.

· 5 000 000 de morts depuis 1998 (IRC)
· Plus de 38 000 morts par mois / 1200 morts par jour
· Des centaines de milliers de femmes et enfants violées (HWR)
· 585 000 enfants meurent chaque année des conséquences de la guerre
· 1,4 a 1,6 millions de déplaces du au conflit (NU OCHA)

Les affaires au Congo rapportent trop bien pour les commanditaires de la guerre d’agression. Le Congo est devenu un business tellement juteux, tellement lucratif que personne ne veut abandonner cette proie qui est la RDC.


Le gouvernement d’occupation dirige par Joseph Kabila joue bien son jeu dans sa politique de sape au niveau le plus élevé de la magistrature suprême de la république. Voila les raisons pour lesquelles il a été reconduit à la tête de l’entreprise.


Dans une interview qu’il a accordée au mois d’août 2005 au Journal Le Potentiel, le ministre en charge de la Coopération régionale n’avait pas sa langue en poche sur ce point.


Il disait notamment ce qui suit: « Comment pouvez-vous imaginer qu’après une année de discussions avec les Fdlr, de manière ardue, que l’on ne soit pas en mesure de rapatrier un seul rwandais et qu’ ils déposent les armes. Je pense que la volonté manque chez nous. Il est vrai qu’on ne peut pas dire que Kigali en a. Mais nous qui souffrons de la présence de ces hommes, que faisons-nous ? ».


Le ministre a déploré « la diversité de langages au sein du gouvernement ». Pourquoi ?


A plusieurs reprises, il a reconnu que le Rwanda, l’Ouganda et le Burundi «constituent une menace contre la République démocratique du Congo».


Cependant, il apporte une précision de taille: « Mais la principale menace contre nous-mêmes, c’est nous-mêmes. C’est-à-dire que nous ne faisons pas assez pour sécuriser nos frontières. Comment voulez-vous que l’ Ituri, le Sud-Kivu, le Nord-Kivu et le Nord Katanga restent une zone grise, deux ans après la mise en place d’un gouvernement d’union nationale ? Quelles sont les actions de grande envergure qu’on a entreprises pour consolider nos acquis dans cette zone?


Certes, la menace vient de l’Est, des voisins. Mais la principale menace vient de Kinshasa. De manière consciente ou inconsciente, je ne pense pas que tout le monde joue un rôle positif dans la refondation d’un Etat ».


A Kinshasa, Mbusa Nyamwisi avait déjà lâché ce mot en ce mois d’août pour faire allusion à « des forces d’inertie qui sont dans des positions dominantes» . « Ne pas s’engager est une forme de complicité », avait-il précisé. Il persiste et signe.


Il y a eu l’ultimatum, expiré, du 30 septembre 2005. Dernièrement, en marge de la session de l’Assemblée générale des Nations Unies, la Rdc, l’Ouganda, le Rwanda et le Burundi, sous la direction des Etats-Unis, ont levé l’option d’un désarmement forcé à l’expiration de l ultimatum. Le Conseil de sécurité a même béni cette décision.


Mais à ce jour, aucune action militaire de grande envergure n’est entreprise. Bien plus, la Monuc a interpellé le gouvernement congolais pour qu’il s’assume, l’assurant de son appui logistique comme ce fut le cas dans la province Orientale avec les rebelles ougandais. Silence.


Les militaires des Fardc ne sont pas bien équipés par rapport aux rebelles rwandais qui disposent des armes sophistiquées et seraient bien habillés. Qui leur fournit cette logistique et cet habillement ?


De deux choses, l’une. Ou c’est Kigali qui continue à fabriquer « ses rebelles » pour ne pas épuiser ses arguments et justifier ses menaces, ses pressions et la présence de ses troupes en Rdc. Dans le cas contraire, la complicité vient de Kinshasa où quelques personnalités se font du beurre avec cette présence des Fdlr. Serait-ce cela les « Forces d’inertie » dont fait allusion le ministre Nyamwisi ? Dans ce cas, l’axe «Kigali-Kinshasa» fonctionnerait bien au détriment du peuple congolais et du processus de transition en Rdc. Sinon comment expliquer ce silence de Kinshasa de ne pas dénoncer officiellement ceux qui continuent à soutenir militairement les Fdlr.


Le Cardinal Etsou avait pleinement raison lorsqu’il déclarait que nous n’avons pas vote Joseph Kabila. Il nous a été impose pour satisfaire le désir glouton et prédateur des commanditaires de la guerre d’agression dont le Congo est victime.


La presence des Interhamwe et celle des rebelles ougandais au Congo sont tout simplement des prétextes fallacieux que le Rwanda, l’Ouganda et leurs pères se servent pour leur permettre d’ entrer librement au Congo et executer la mission qui leur a été confiée.


Les ambitions économiques du Rwanda ne se limitent pas à la prédation de richesses facilement accessibles et commercialisables, comme l’or et le diamant. Le sous-sol du Kivu recèle des minerais utilisés dans l’industrie de pointe (électronique, aéronautique, médecine nucléaire), comme le niobium (15 % des réserves mondiales se trouvent en Afrique, dont 80 % au Congo), le tantale, associé au colombium, appelé coltan dans la région (l’Afrique recèle 80 % des réserves mondiales de tantale, dont 80 % au Congo). Ces minerais rares ont pour caractéristique une exceptionnelle résistance au froid et à la chaleur et peuvent être utilisés dans des alliages très ductiles et très résistants. D’après de nombreux témoignages en provenance du Kivu, l’exploitation et la commercialisation de ces minerais sont le monopole des Rwandais, protégés par les militaires, et plusieurs compagnies internationales, dont Kenrow International of Gaithersburg, originaire du Maryland, sont représentées à Kigali.


Selon le Daily Mail de Tanzanie (14 janvier 1999) le vice-président Kagame et le commandant James Kabare - qui fut chef d’état-major par intérim auprès du président Kabila avant de se retourner contre lui - détiendraient des intérêts dans plusieurs compagnies minières (Littlerock Mining Ltd, Tenfields Holdings Limited, Collier Ventures Ltd, Sapora Mining Ltd) et une compagnie d’import-export, Intermarket. Depuis l’éclatement de la première guerre du Congo, qui mena au renversement du maréchal Mobutu, plusieurs sociétés minières ont été citées, pour avoir financé des opérations militaires en échange de contrats avantageux dans l’est de la RDC : l’américaine Barrick Gold Corporation (dont l’un des actionnaires est l’ancien président George Bush), l’australienne Russel Ressources dirigée par l’ancien général israélien David Agmon, l’autrichienne Krall, la canadienne Banro American Ressources.


A ce sujet, Jean-Claude Willame note : « Que ce soit en Ituri, au Kivu ou au Nord-Katanga, il était difficile d’occulter le constat d’une « économie de guerre » alimentée par une demande extérieure de ressources primaires si abondantes au Congo , une économie sur laquelle la communauté internationale voulut parfois fermer pudiquement les yeux. » (J.-C. WILLAME, Les faiseurs de paix au Congo. Gestion d’une crise internationale dans un Etat sous tutelle, Bruxelles,Crip, p.108) Et qui en profitait ? « Sur 85 entreprises listées comme ayant enfreint les dispositions du code de conduite des entreprises multinationales édicté par l’OCDE, se trouvent quatre grandes banques (dont trois belges), dix-sept « juniors miniers » américains, canadiens, belges ou britanniques, un important groupe miner belge, onze entreprises diamantaires belges, ainsi que plusieurs dizaines de sociétés peu connues établies en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie. » (Ibidem)


Au regard de ce qui précède, le peuple congolais doit se prendre en charge. Il doit utiliser tous les moyens nécessaires pour défendre son pays, ses richesses, ses terres, sa souveraineté, et la population a la merci des bandits en cravate.

Dans sa lutte pour recouvrer sa liberté et sa dignité, le peuple congolais doit cesser de placer son espoir sur la Monuc (qui poursuit en RDC les mêmes objectifs que le Rwanda et l’Ouganda), le peuple congolais doit cesser de compter sur le parlement dirige par Vital Kamerhe (Joseph Kabila bis), ni sur le gouvernement d’occupation dirige par le collabo Gizenga (qui cautionne le pillage et la balkanisation du Congo), ni sur le Sénat dirige par Kengo (un ancien allie des puissances occidentales).

“On peut tromper tout le peuple une partie du temps, une partie du peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps “, disait Abraham LINCOLN.

«Dès lors qu’un individu prend conscience que les lois qui régissent sa société sont injustes et arbitraires, il a le devoir de se révolter et de les combattre. » (Mahatma GHANDI)



CONSCIENCE CONGOLAISE

KE’ LAMPAM

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